Le 11 mai 1940, pour faire face aux nombreuses défections d’échevins et de membres du personnel communal, PAQUAY Emmanuel, courtier en grains de l’avenue des Tilleuls (qui deviendra plus tard l’avenue Guillaume Joachim) à Waremme, se met à la disposition de l’administration communale.
Archives par mot-clé : mise à disposition
Les blessés du train de Fexhe (Waremme – Fexhe-le-Haut-Clocher)
Le 11 mai 1940, vers 16 heures, le train qui a été bombardé en gare de Fexhe-le-Haut-Clocher, plus tôt dans la journée, arrive en gare de Waremme.
Les victimes sont extraites du train et allongées provisoirement dans les locaux de la gare, réservés aux marchandises. Les nombreux blessés sont emmenés dans les cliniques et centres médicaux de la ville (des blessés sont accueillis au Centre Médico-Chirurgical que l’Armée a ouvert à l’Ecole Moyenne), mais ils sont rapidement saturés.
Le directeur du Collège Saint-Louis, l’abbé DE MARTELAERE Charles, propose de de mettre des locaux de son établissement, situé avenue Reine Astrid, à la disposition des équipes soignantes.
Jules Linotte, réquisitionné (Waremme)
Le 22 juin 1943, LINOTTE Jules-Désiré-Antoine reçoit l’ordre de réquisition, signé par le bourgmestre de Waremme, de se mettre à la disposition du commissaire de police, le 27 juin 1943 à 21 heures, pour surveiller les plantations de GERITS Albert.
Les anciens remparts cultivés (Waremme)
En 1917, le commissaire d’arrondissement de Waremme et président du « Coin de Terre », HALLET Emile, propose d’exploiter les terres à l’endroit où s’élevaient les remparts, récemment nivelés.
Le « Coin de Terre » est une oeuvre qui met à disposition des familles un lopin de terre pour subvenir à leurs besoins, en cultivant de légumes et des pommes de terre. A Waremme, il y a 82 familles réparties sur 715 ares.
Radio Sans Frontière déménage (Waremme)
En 1986, Radio Sans Frontière quitte la rue du Pont à Waremme, pour s’installer dans un local du quartier de la Champanette, mis à disposition par l’administration communale.
Un bus scolaire à Waremme
Le 1er septembre 1975, un bus scolaire est mis à la disposition de l’enseignement communal de Waremme.
Le Comité de Secours et d’Alimentation (Waremme)
En 1917, le Comité de Secours et d’Alimentation de Waremme s’est fixé comme objectif que dans chaque village, il ne doit pas y avoir une seule famille, riche ou pauvre, qui ne produise directement ou indirectement les légumes, pommes de terre et féculents dont elle a besoin. Pour ce faire, le comité crée des « coins de terre » : des terrains loués à bas prix (20 à 25 francs la verge) par les fermiers, qui n’en retirent guère plus avant la guerre. Ces lopins sont mis à la disposition des familles les plus défavorisées. En 1917, on compte à Waremme 82 de ces jardins, totalisant 715 ares.
Les stocks de bois recensés par les Allemands (Waremme – Allemagne)
Le 1er octobre 1915, le commandant « Rittmeister » BERG demande que l’on recense les stocks de bois chez les marchands et les entrepreneurs, ainsi que dans les scieries de Waremme. Ceux qui possèdent ces stocks doivent les tenir à la disposition de l’occupant. Ils ne pourront en vendre qu’avec la permission du général du corps ingénieur auprès du gouvernement.
Victor Léonard aide la Croix-Rouge (Waremme)
En 1914, LEONARD Victor, industriel, met son automobile à la disposition de la Croix-Rouge de Waremme. Il convoie lui-même des blessés.
Madame Waroux met sa maison à la disposition de la Croix-Rouge (Waremme)
Le 4 août 1914, l’ambulancière, Madame WAROUX, offre sa villa située au n° 47 de l’actuelle avenue Henri Monjoie à Waremme, pour le service de la Croix-Rouge.