Vers 1793, l’abbé POLLET Cornélis, curé de Hollogne-sur-Geer, est mis sous surveillance comme « sexagénaire ». (Il ne reprendra pleinement ses fonctions qu’en 1805, sous le Régime Napoléonien).
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Le curé sous surveillance (Omal)
Vers 1793, l’abbé PERILLEUX Bauduin, curé d’Omal, est mis sous surveillance comme « sexagénaire ».
Le curé sous surveillance (Darion)
Vers 1793, l’abbé QUIRINY Henri-Adrien, curé de Darion, est mis sous surveillance comme « infirme ».
Les prêtres doivent prêter serment de fidélité à la République (Waremme – France)
Le 5 septembre 1797 (19 fructidor de l’An V), un décret du Directoire impose aux ecclésiastiques un « serment de haine à la royauté et de fidélité à la République ». Les réfractaires feront l’objet d’une répression brutale.
Cette exigence divise le clergé waremmien. Le vicaire, DANGLEUR Michel, qui est aussi curé de Berloz (?), refuse de prêter ce serment, alors que le curé DESHAYE Gérard-Joseph accepte. Une chasse aux prêtres non assermentés est organisée dans le canton de Waremme. Ainsi, les curés de Crenwick, de Boëlhe, de Rosoux, de Darion, d’Omal, de Geer, de Grand-Axhe, de Bovenistier, de Donceel, de Hodeige, de Pousset, de Bleret, de Bergilers, de Hollogne-sur-Geer, de Limont et de Viemme.
Beaucoup de prêtres réfractaires se cacheront pour éviter la déportation. Néanmoins, 8000 d’entre-eux ne pourront y échapper et seront envoyés à Oléron, à l’île de Ré ou en Guyanne. Cependant, s’ils sont âgés ou infirmes, ils seront simplement mis sous surveillance