Bénédiction d’un monument commémoratif (Oreye)

Le (?) 1945, l’évêque de Liège KERKHOS (?) bénit le monument, érigé à Oreye, à la mémoire des 3 aviateurs français, l’adjudant MOQUELET et les sous-lieutenants MOREL et JACQUET, qui ont perdu la vie lorsque leur bombardier « Leo 45 », touché par la DCA allemande, s’est écrasé au carrefour « Ramkin » à Grandville.

Emplacement d’un monument funéraire (Waremme)

Le 17 mai 1855, DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond, LISMONDE et DEJARDIN fixent l’emplacement du monument funéraire de la famille DE SELYS-LONGCHAMPS, dans le nouveau cimetière de Waremme.

Installation du monument funéraire de Sélys-Longchamps (Waremme)

Le 6 août 1855, le soubassement en pierres du monument funéraire de la famille DE SELYS-LONGCHAMPS, est installé au nouveau cimetière de Waremme

Restauration du monument aux morts (Jeneffe)

En 1924, le monument aux morts de le Première Guerre Mondiale de Jeneffe est restauré.

Restauration de l’église (Hodeige)

En avril 1905, les travaux de restauration de l’église de Hodeige sont entamés. L’architecte chargé de ces travaux est LOHEST.

Les travaux consistent en la restauration de l’église existante, fort délabrée, ainsi qu’en son agrandissement, par l’ajout d’une nef latérale.

Le monument s’élève au milieu du cimetière. Avant les travaux, il n’a que 2 nefs, recouvertes par des plafonds en lattes, et construites dans le style flamboyant de XVème siècle (ou du commencement du XVIème siècle), mais dont le caractère architectonique a entièrement disparu lors des restaurations effectuées à la Renaissance. Le remplissage des fenêtres a été enlevé et il ne reste plus que des ouvertures de baies informes et dépouillées de tout ornement. Les matériaux, destinés dans la pensée du constructeur à être vus, ont été recouverts soit d’un épais badigeon, soit d’une couleur « agressive ». La grande fenêtre percée dans le mur plat du choeur a été bouchée par une maçonnerie et, à l’intérieur, est masquée par le maître-autel. Enfin, les murs ainsi que les toits, en fort mauvais état, achèvent de donner à cet édifice l’aspect d’une ruine plutôt que d’une église servant au culte divin.

Mort du curé Delvaux (Hodeige)

Le 17 avril 1871, le curé de Hodeige, l’abbé DELVAUX Jean-Louis, décède à Hodeige, à l’âge de 62 ans. La paroisse lui fera élever un monument funéraire dans le cimetière du village, près du chœur de l’église. Sur cette pierre tombale l’inscription suivante sera gravée:

« A LA MEMOIRE DU Rend Mr JEAN-LOUIS DELVAUX CURE A HODEIGE DEPUIS 1834. Y DECEDE le 17 AVRIL 1871 A L’AGE DE 62 ANS. LA COMMUNE RECONNAISSANTE. »

Création d’une place publique (Remicourt)

Le 5 septembre 1950, le conseil communal de Remicourt décide de créer une place publique en face de la Maison Communale et de déplacer le Monument (aux Morts ?).

Monument à Notre-Dame de Banneux (Remicourt)

Vers 1952 (?), le Conseil de la Fabrique d’Eglise de Remicourt, à la demande d’un groupe de paroissiens, fait ériger un monument à Notre-Dame de Banneux. C’est l’architecte RADOUX Georges qui en adressé les plans. Ce sont les paroissiens demandeurs qui règleront les factures.

Monument aux combattants (Crisnée)

Le 20 mai 1976, le conseil communal de Crisnée décide de placer un monument sur la concession réservée aux combattants, dans le nouveau cimetière du village. Le travail sera effectué par BACUS, d’Oreye.

Les combattants de la Deuxième Guerre sur le Monument (Crisnée)

Le 1er mai 1953, le conseil communal de Crisnée décide de placer, sur le monument à la mémoire des combattants du village lors de la Première Guerre Mondiale, une plaquette sur laquelle MOUHA Alexis grave le nom des combattants, prisonniers, déportés et réfractaires de la Deuxième Guerre Mondiale. Il est à noter que le nom des Résistants n’apparaît pas sur cette plaquette.