En 1947, une stèle commémorant les morts de la Deuxième Guerre Mondiale est inaugurée sur la placette devant l’église de Thys. Elle porte les noms et les photographies des défunts.
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Lutte contre la petite vérole (Hollogne-sur-Geer)
Le 18 avril 1818, un arrêté, visant à combattre la propagation de la petite vérole, est pris pour les villages de la région de Hollogne-sur-Geer:
» … Aussitôt que la petite vérole se manifeste dans une maison, il sera attaché, par les soins de la police, au-dessus de la porte d’entrée principale, un écriteau portant les mots – De par l’Autorité, Maison infectée de la petite vérole – Cet écriteau muni du sceau de la mairie restera suspendu aussi longtemps que la maladie règnera dans la maison.
A l’exception des ecclésiastiques, des médecins, des gardes-malades, personne ne pourra avoir des communications avec les maisons infectées.
Un enfant habitant la maison ne pourra avoir des communications avec d’autres enfants.
Le corps d’une personne morte de la petite vérole devra être promptement inhumée et au plus tard dans les deux fois 24 heures, sans que qui que ce soit puisse le recevoir à l’église.
Il est défendu, aux maîtres et maîtresses d’écoles et de pensionnats, de recevoir sous peine d’une amende de 3 à 10 florins, un enfant qui n’aura pas été vacciné.
Il est également fait défense aux établissements de charité d’accorder des secours aux familles qui négligent de faire vacciner leurs enfants. »
Accident de trams (Oreye)
Le 23 mars 1917, un tram vicinal de voyageurs, venant de Liège, est heurté à pleine vitesse par un autre tram venant de la gare d’Oreye, sur la Grand’Route à Oreye, à cause d’une erreur d’aiguillage. Il y a des morts et de nombreux blessés.
Les Lorrains à Borlez
En 1653, les Lorrains s’installent dans l’église de Borlez et dans les fermes avoisinantes. Plusieurs habitants du village sont tués.
Les Lorrains à Borlez
En 1651, les Lorrains s’installent dans l’église de Borlez et dans les fermes avoisinantes. Plusieurs habitants du village sont tués.
Explosion du fort de Loncin
Le 14 (15 ?) août 1914, à 17h20, le fort de Loncin est touché par un obus, calibre 420, tiré par un canon à longue portée, appelé par les Allemands « Grosse Bertha » (prénom de la fille du Keyser allemand). Il défonce la voûte de la poudrière et les 12 tonnes de poudre du magasin explosent, pulvérisant le centre du fort. Des coupoles de 39 tonnes sont expulsées de leur alvéole. Les 350 défenseurs de l’ouvrage sont ensevelis sous les blocs de béton, asphyxiés ou brûlés vifs. Le Général LEMAN, commandant de la place de Liège, est grièvement blessé.
Bataille de Tourinne
Le 21 juillet 1347, une terrible bataille se déroule à Tourinne, village voisin de Les Waleffes. Elle fait plus de 1.000 morts (?). DE LA MARCK Everard, allié au Duc DE BRABANT, écrase les troupes du Prince-Evêque de Liège.
Accident de trains (Fexhe-le-Haut-Clocher)
Le 4 octobre 1967, à 12h57, suite à une erreur humaine, un train international « Cologne – Ostende » percute, en gare de Fexhe-le-Haut-Clocher, l’omnibus venant de Waremme. Il n’y a pas de blessé dans l’accident, mais la locomotive de l’International déraille et et empiète sur la voie principale vers Liège.
A ce moment, surgit à toute vitesse, une rame d’automotrices assurant la liaison « Bruxelles – Liège ». Le choc est effroyable: la locomotive taille véritablement les automotrices sur leur longueur. On retirera des décombres 11 morts et de nombreux blessés.
Fin de la bataille de la Lys (Belgique – Allemagne)
Le 27 mai 1940, la bataille de la Lys s’achève par la capitulation de la Belgique. 2549 soldats belges ont été tués lors de cette bataille, sauvant le corps expéditionnaire britannique, en empêchant les Allemands de le submerger pendant son rembarquement.
Les blessés du train de Fexhe (Waremme – Fexhe-le-Haut-Clocher)
Le 11 mai 1940, vers 16 heures, le train qui a été bombardé en gare de Fexhe-le-Haut-Clocher, plus tôt dans la journée, arrive en gare de Waremme.
Les victimes sont extraites du train et allongées provisoirement dans les locaux de la gare, réservés aux marchandises. Les nombreux blessés sont emmenés dans les cliniques et centres médicaux de la ville (des blessés sont accueillis au Centre Médico-Chirurgical que l’Armée a ouvert à l’Ecole Moyenne), mais ils sont rapidement saturés.
Le directeur du Collège Saint-Louis, l’abbé DE MARTELAERE Charles, propose de de mettre des locaux de son établissement, situé avenue Reine Astrid, à la disposition des équipes soignantes.