Ernest Streel, électricien (Petit-Axhe)

En juillet 1951, STREEL Ernest est installé au n° 2 de la rue du Parc, à Petit-Axhe. Il exploite un commerce de vente, achat, location et réparation de moteurs électriques.

La S.A. Moteurs Moës (Waremme)

En 1912, la S.A. « Moteurs Moës » est fondée à Waremme. Elle fabrique des moteurs diesel et de petites locomotives de mine équipées de ces moteurs.

Les Etablissements Gaston Tonglet (Haneffe)

En avril 1914, les Etablissements Commerciaux, Agricoles et Industriels « TONGLET Gaston » sont installés à Haneffe. Ils produisent des machines agricoles, des moteurs et des locomotives.

Mort de Paul Moës (Waremme)

En 1965, MOËS Paul décède à (?). Il a été industriel et producteur de moteurs à Waremme. Il sera inhumé au cimetière de Waremme.

Les Ateliers Moës (Waremme)

En 1919, après la Première Guerre Mondiale, les « Ateliers MOËS », de Waremme, s’orientent vers la production de moteurs diesel et semi-diesel, convenant à la batellerie et aux locomotives.

L’entreprise Moës déménage (Waremme)

En 1913, la société « MOES » s’installe rue de Huy, à Waremme. Elle utilise régulièrement les installations de la gare pour l’expédition de petites locomotives de mine et de moteurs diesel, dont la réputation est internationale.

L’usine Mélotte (Remicourt)

En 1927, l’usine MELOTTE de Remicourt produit 25.000 écrémeuses à bol suspendu, mais aussi des machines à traire, des moteurs, des barattes, …

Elle emploie 1444 personnes.

écrémeuse mélotte

écrémeuse mélotte

La voiture d’Edouard Moës (Waremme – Allemagne)

En 1941, MOES Edouard, industriel à Waremme, est autorisé à conserver sa luxueuse Chevrolet et à ne pas la céder aux occupants allemands, au motif que lui-même et son personnel de maîtrise doivent visiter les chantiers où les moteurs fabriqués par son entreprise sont en service.

En raison de la pénurie de carburant, il sera obligé d’équiper son véhicule d’un gazogène, monté sur une remorque tractée.

Saccage des Etablissements « Doyen » (Waremme – Allemagne – Etats-Unis)

Le 24 novembre 1918, des Waremmiens échauffés par quatre années d’occupation, de frustrations économiques et alimentaires se livrent à une justice expéditive envers ceux qu’ils considèrent comme des collaborateurs économiques.

Les « Etablissements Doyen et Fils » sont vandalisés.

Cette entreprise vend du matériel agricole provenant des Etats-Unis et d’Allemagne. Durant le conflit, elle a poursuivi la vente de moteurs allemands. Les Waremmiens ont vu d’un mauvais oeil la proximité de l’entreprise avec les occupants.

Les dégâts sont évalués à 19.892 francs pour les immeubles et à 291.966 francs pour les « meubles », dont 55.398 francs de vin.

Vente des moteurs de la centrale (Waremme)

Le 4 août 1942, un habitant de Waremme achète les moteurs de l’ancienne centrale électrique pour un montant de 30.000 francs.