En 1816, la production annuelle de Hollogne-sur-Geer (680 habitants) est de:
En 1725, un édit liégeois stipule que les agriculteurs, qui n’ont pas de charrue de labour, ne peuvent élever qu’un mouton pour 2 bonniers de terre arable. (Un modeste paysan ne peut donc détenir que 2 ou 3 moutons).
En 1954, la tannerie-corroierie « La Maison VANDERVELPEN – TOMSIN » est installée au n° 30 de la rue Emile Hallet, à Waremme.
Elle tanne à façon des peaux de mouton, de chèvres, …
Elle vend:
En 1498, DE HEMRICOURT Rigal donne à son fils, DE HEMRICOURT Raskin, en subside de mariage:
Le 5 mai 1656, un mandement du Prince-Evêque de Liège concernant « les bêtes à laine du quartier de Hesbaye » fustige les détenteurs de troupeaux pléthoriques, ceux qui « faisant trafic avec mouton, en achetant quantité, les mèneroient pâturer es communes et jouxhiers » provoquant un état de surpâturage. Il défend donc aux éleveurs hesbignons de tenir plus d’ovins que « ne peuvent passer l’hiver avec le fourrage et dîmes y revenantes ».
En 1953, MALCHAIR Joseph quitte la rue de la Porte de Liège à Waremme (n° 35 de l’actuelle Avenue Edmond Leburton). Il installe son commerce de bières au n° 3 de la rue Visigate. Il effectue ses livraisons à l’aide d’une charrette tirée par son cheval « Mouton ».
En 1790, pour le dîner de la Pentecôte, FRESON François, confrère de la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme, procurera un mouton, un veau et ?. pour acquitter l’impôt, il pourra récupérer les peaux du mouton et du veau.
En février 1673, la Confrèrie des Archers de Saint-Sébastien de Waremme délivre à son gouverneur un mouton en dédommagement des frais qu’il a dû supporter suite à la présence des soldats.