Biens en lansage pour Fastré de Berlo (Waremme – Liège)

Le 24 octobre 1281, l’Official de Liège « Sede Vacante » fait savoir que le chapitre de Sainte-Croix a donné en lansage (?) perpétuel (location héréditaire ?), au chevalier DE BERLO(Z) Fastré, fils de feu DE BERLO(Z) Eustache:

  • un moulin sis à Waremme, près du pont, avec la cour et le « stal » de brassine qui y joignent
  • le stal de brassine de Longchamps, avec la maison et la cour adjacentes
  • deux bonniers et demi de terres arables sis à Berloz, mouvant de la cour de l’abbé de Saint-Trond à Berloz
  • quatre muids d’épeautre de rente à Oleye

moyennant 20 muids d’épeautre de Hesbaye, huit chapons et dix deniers annuellement.

Thomas de Laminne loue des terres (Bovenistier)

En août 1301, le chevalier DE LAMINNE Thomas prend à bail de six ans les terres que l’église Sainte-Croix de Liège possède à Bovenistier, pour 106 muids d’épeautre annuellement.

Walter de Longchamps loue le moulin et la brasserie (Waremme)

Le 5 mai 1309, DE BOVINA Jean et le chapitre de Sainte-Croix à Liège donnent en lansage à l’écuyer DE LONGCHAMPS Walter, dit « Watuel », le moulin à eau sis à Waremme, près du pont, avec la cour et la brassine adjacentes, moyennant 20 muids d’épeautre de Hesbaye annuellement.

La Seigneurie de Momalle

Le 22 février 1369 (?), DE CORSWAREM Arnould III devient Seigneur de Momalle, moyennant une rente annuelle de 53 muids d’épeautre. Jusque-là, il en était l’avoué.

Les filles de Corswarem, moniales (Corswarem)

Vers 1260 (?), DE CORSWAREM Aleide et DE CORSWAREM Catherine, filles de DE CORSWAREM Guillaume, sont moniales à l’abbaye de la Paix-Dieu.

Si elles viennent à quitter l’abbaye, celle-ci leur versera à chacune une rente viagère annuelle de 25 muids d’épeautre

Rendage des dîmes de Hodeige et de Lamine

Le 20 juin 1476, le rendage des dîmes de Hodeige et de Lamine est fait à:

  • THOMAS Nicolas, de Hodeige
  • RASKIN Guillaume, de Lamine
  • POLLARD Masset, de Hodeige

moyennant 317 muids d’épeautre.

Contestation pour un Bénéfice (Hodeige – Liège)

En 1595, il y a une contestation entre le curé de Hodeige et CHOQUIER Wason, chanoine de Saint-Denis à Liège, à propos de l’autel ou Bénéfice fondé en l’honneur de la Sainte-Vierge, de Saint-Antoine, de Saint-Sébastien, de Sainte-Lucie et de Sainte-Geneviève. On estime que ce Bénéfice vaut 24 muids d’épeautre à charge de 2 messes par semaine.

Les revenus du curé (Hodeige)

En 1786, le curé de Hodeige perçoit le revenu de 14 bonniers, 18 verges grandes et 12 petites, ainsi que 60 muids 7 setiers d’épeautre et 46 florins 19 sous et 267 deniers fortis de rente. En outre, chaque communiant de la paroisse lui offrir 7 oeufs le Jeudi-Saint.

Les revenus du curé (Hodeige)

En 1580, tant en rentes qu’en fermages, le curé de Hodeige perçoit à peu près un revenu annuel de 150 muids d’épeautre (les fermages comprennent 17 bonniers, 11 verges grandes et 19 petites)

Les revenus du curé (Hodeige)

En 1528, les revenus annuels de la cure de Hodeige, sans compter le « casuel », s’élèvent à 120 muids d’épeautre, plus environ 200 deniers fortis de rente.