Les revenus du curé (Hodeige)

En 1580, tant en rentes qu’en fermages, le curé de Hodeige perçoit à peu près un revenu annuel de 150 muids d’épeautre (les fermages comprennent 17 bonniers, 11 verges grandes et 19 petites)

Les revenus du curé (Hodeige)

En 1528, les revenus annuels de la cure de Hodeige, sans compter le « casuel », s’élèvent à 120 muids d’épeautre, plus environ 200 deniers fortis de rente.

Les habitants dotent leur église (Hodeige)

En 1259, les fidèles de Hodeige dotent leur église de 9 bonniers de terre, qui doivent servir à l’usage du curé, ainsi que d’une rente annuelle de 4 muids d’épeautre. (Le bonnier étant calculé comme rapportant annuellement 3 muids, avec 9 bonniers, le curé aura donc un revenu annuel de 27 muids, plus 4 muids de rente annuelle, soit un total de 31 muids).

En outre, il percevra les oblations des fidèles et le « casuel » qui consiste dans la perception des droits d’étole à l’occasion de services religieux pour les défunts et les offrandes que l’on fait à l’occasion de la réception de certains sacrements ou d’autres cérémonies de l’Eglise.

Testament de Thomas de Donceel (Hodeige)

Le 6 juillet 1636, le curé de Hodeige, l’abbé DE DONCHEIL (DE DONCEEL) Thomas, rédige un testament par lequel il choisit sa sépulture dans l’église de Hodeige. Il y fonde un anniversaire et lègue à la Mense des Pauvres une rente annuelle de 4 muids d’épeautre.

Il fait quelques legs, à :

  • SIMONIS Jean, un cousin de Liège
  • SIMONIS Gilles, avocat, un cousin de Liège
  • sa nièce, Marguerite, épouse de COMAN Jean de Hodeige
  • sa belle-sœur, Marguerite, veuve de DE DONCEEL Bauduin

Quant à tous ses autres biens meubles et immeubles, il en institue ses héritiers universels, DE BRABANT Antoine, son beau-frère, et DE DONCEEL Marguerite, sa soeur.

Paiement de la rente due à la Fabrique d’Eglise (Crisnée)

Le 25 mars 1924, le conseil communal de Crisnée accorde au Bureau de Bienfaisance du village d’inscrire au compte de 1924, la somme de 128,08 francs, votée sur l’excédent du budget de 1924, pour solder la rente de 8 muids 5 setiers d’épeautre dur à la Fabrique d’Eglise.

Les revenus de la Fabrique d’Eglise (Crisnée)

Vers 1550, les revenus de la Fabrique d’Eglise de Crisnée sont de 36 muids d’épeautre, consistant en revenus de 56 bonniers de terres et en fondations.

Dons au Bureau de Bienfaisance (Crisnée)

En 1772, le Bureau de Bienfaisance de Crisnée a reçu, pour les pauvres du village, 56 stiers, 3 quartes et 2 pougnoux de froment, qui font 18 muids et 5 stiers spelte.

La ferme du château (Thys)

En 1754, la ferme du château de Thys est louée pour 262 muids et 3 setiers d’épeautre.

La ferme du château (Thys)

En 1575, la ferme du château de Thys est louée, pour un bail de 9 ans, pour 300 muids d’épeautre payables comme suit:

  • 150 muids en froment et seigle (wassent)
  • 50 muids en épeautre (y compris 10 muids en orge)
  • 100 muids en argent