En 1575, la ferme du château de Thys est louée, pour un bail de 9 ans, pour 300 muids d’épeautre payables comme suit:
- 150 muids en froment et seigle (wassent)
- 50 muids en épeautre (y compris 10 muids en orge)
- 100 muids en argent
En 1575, la ferme du château de Thys est louée, pour un bail de 9 ans, pour 300 muids d’épeautre payables comme suit:
Le 8 août 1626, DE BEAURIEU Wathier (Wathieu ?) donne, à bail perpétuel à l’abbaye Saint-Laurent de Liège:
En contrepartie, l’abbaye Saint-Laurent lui sera redevable:
En mars 1261, le chevalier DE MONFERANT Adan, Seigneur d’Oreye, et son épouse D’OREYE Elisabeth prennent en location, à perpétuité, 6 bonniers de terres , près de Tis (Thys ?), auprès de l’abbé de Saint-Trond, contre une rente annuelle de 26 muids d’épeautre. Ils ne pourront vendre ce bien sans le consentement de l’abbaye (Leurs successeurs payeront cette rente jusqu’à la Révolution française et l’abolition du régime féodal).
Sur ces terres, ils construiront un château féodal. Cet édifice comprendra une cour haute et une cour basse, flanquées de 4 tours carrées situées à chacune des extrémités. Une maison seigneuriale et un quartier des serviteurs et domestiques y seront adjoints. Des écuries et des étables complèteront l’ensemble. Une seule entrée permettra l’accès à ce château. Elle sera surmontée d’un donjon, précédé par un pont-levis. Des étangs, alimentés par le Geer, entoureront cet ensemble.
En 1612, pour exploiter une terre à Oreye, des paysans versent un loyer à l’abbaye de Saint-Trond:
En 1514, pour exploiter une terre à Oreye, des paysans versent un loyer (à l’abbaye de Saint-Trond ?):
En 1499, pour exploiter une terre à Oreye, des paysans versent un loyer (à l’abbaye de Saint-Trond ?):
En 1492, WEERAERTS Naye (?) paie un loyer de 70 muids d’épeautre ( à l’abbaye de Saint-Trond ?) pour exploiter une terre de 30,5 bonniers à Oreye.
Vers 1710, le Seigneur de Grand-Axhe perçoit la grande-dîme du village, soit 100 muids d’épeautre.
Vers 1710 (?), le curé de Grand-Axhe perçoit les petites dîmes du village, soit 3 pains par famille. Il reçoit également 7 oeufs de chaque communiant. Pour un bénéfice fondé à Saives, il reçoit environ 25 muids.
En 1595, la mense aux pauvres de Remicourt s’élève à 26 muids.