En 1944, à la Libération, un bivouac de militaires américains, manutentionnaires de munitions, s’installe à Bleret.
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Intense activité à la gare (Remicourt)
En 1945, la gare de Remicourt connaît une activité intense et soutenue. Des trains de munitions, de matériel militaire et d’équipements variés arrivent journellement. De lourds camions, conduits par des soldats américains (fréquemment de couleur), sillonnent les rues du village.
Explosion à Remicourt
En janvier 1946, un dépôt de munitions explose à Remicourt, sans faire de victimes.
Des habitants travaillent pour les Américains (Crisnée)
Pendant l’hiver 1944 – 1945, un groupe d’habitants de Crisnée travaille pour les Américains:
- DENOMERENGE Pierre
- HANAY Pierre
- LEDUC Louis
- RAYMACKERS Sylvain
- …
Ils chargent des caisses de munition s sur des camions, à destination du front.
L’arsenal de Jean Dominici (Oreye)
Pendant la Deuxième Guerre Mondiale, DOMINICI Jean stocke des armes (fusils, révolvers, mitrailleuses, munitions, …), pendant des semaines, dans une cave bien cachée de la gendarmerie d’Oreye. Malgré de nombreuses visites, les Allemands ne la découvriront pas. Il livrera ces armes à la Résistance.
Florent Pressia, manutentionnaire (Lantremange – Remicourt)
En janvier 1945, PRESSIA Florent de Lantremange, travaille à la gare de Remicourt, lieu de transit pour les armes et les munitions qui arrivent du port d’Anvers.
Il décharge les lourdes caisses des wagons de chemin de fer et les recharge sur des camions GMC de l’armée américaine. Pour ce travail, il est payé 1000 francs par semaine.
Des armes au cimetière (Viemme)
En juin 1944, des armes et des munitions de la Résistance sont cachées dans un tombeau, au cimetière de Viemme ; ainsi que 450 salopettes en jute grise, destinées à vêtir les hommes d’un semblant d’uniforme.
Dépôt de munitions à Remicourt
En 1944, l’armée américaine installe un dépôt de munitions dans un magasin de la gare de Remicourt.