Jean-Marie Heyne, écolier (Remicourt)

En septembre 1958, HEYNE Jean-Marie fréquente l’école primaire de Remicourt, dans une classe située à l’arrière de l’ancienne Maison Communale (qui deviendra plus tard le Musée de Hesbaye).

Fouille de la « Tombe » (Hodeige)

En 1891, le tumulus de Hodeige est fouillé par les archéologues DE LOOZ G. et DE PUYDT M., pour l’Institut Archéologique Liégeois.

Le tertre abrite un caveau décentré de 3m 25 de côté et d’une profondeur d’environ 2 m. Le mobilier funéraire qui y est découvert sera conservé au Musée Curtius à Liège.

La tombe se trouve dans une zone comprise entre 2 voies antiques importantes:

  • La « Verte Chaussée », à 2km5 à l’Est, qui suit le tracé de la Voie Romaine « Tongres-Arlon ».
  • La chaussée « Bavay-Cologne à 4 km à l’Ouest.

D’autres vestiges romains ont été repérés par DESTEXHE G. dans un rayon assez limité à l’Est et au Sud-Ouest du tertre.

Fouille des Tumulus n° 1 et n° 3 (Omal)

En 1876, DE LOOZ G. fouille les tumulus n° 1 et n° 3 à Omal.

Le tumulus n° 1 recouvre un caveau trapézoïdal de 1m50 sur 2m05 / 2m65, creusé à une profondeur de 2m38, avec une banquette large de 20 à 30 cm le long des parois. Au sud du caveau, l’emplacement du bûcher d’incinération est identifié.

Le tumulus n° 3 contient un caveau carré de 3m25 de côté et d’une profondeur de 1m90. Il présente des banquettes de 50 cm sur, au moins, 2 côtés.

Les mobiliers funéraires découverts dans ces tertres seront conservés aux Musées Royaux d’Art et d’Histoire de Bruxelles et au Musée Curtius, à Liège.

Fouille des tumulus n° 2 et n° 4 (Omal)

En 1850, SCHAYES A.-G.-B., conservateur au Musée Royal d’Armures et d’Antiquités de Bruxelles, fait fouiller les tumulus n° 2 et n° 4 à Omal.

Dans le tumulus n° 2, on trouve une couche de terre mêlée de charbon de bois et de cendres, et un caveau quadrangulaire renfermant quelques objets et débris (?).

Les fouilles du tumulus n° 4 sont interrompues, à la suite d’un éboulement.

Fouille du tumulus de Celles-Saives

En 1874, le tumulus de Celles-Saives, dit « La Tombe de Saives », caché dans un bois situé au centre de parcelles cultivées, au lieu-dit: « A la Tombe » ou « A la Tomballe », est fouillé par DE LOOZ G. pour le compte de l’Etat. Il recouvre un grand caveau central, de plan trapézoïdal de 4m50 sur 4m75, d’une profondeur de 4 m.

L’archéologue note la présence d’un pieu central. Le mobilier funéraire est composé, entre autres, de deux harnachements de chevaux constitués de lanières en cuir rehaussés de décorations en bronze, et de deux mors.

L’excellente conservation des cuirs en fait une trouvaille exceptionnelle en Belgique. (Ces harnachements seront conservés aux Musées Royaux d’Art et d’Histoire de Bruxelles. Le reste du mobilier sera conservé au Musée Curtius de Liège.

Avion retiré du sol (Lens-Saint-Servais)

En mai 1992, des passionnés d’histoire militaire, qui ont retrouvé les restes d’un Hurricane anglais à Lens-Saint-Servais (abattu par la DCA allemande et qui s’est écrasé dans un verger de la rue Baulet) font appel au 4ème Génie d’Amay pour extraire le train d’atterrissage, le moteur et d’autres organes de l’appareil.

Toutes ces pièces seront exposées au musée du Fort d’Eben-Emael.

Tumulus nivelé (Ligney)

En 1847, un tertre de 10 mètres de hauteur et de 30 mètres de diamètre est nivelé à Ligney (dans une prairie de la future ferme DEVILLERS). Dans le caveau, on y découvre un médaillon en ivoire sculpté, ainsi que des lampes en terre cuite. Ces objets seront conservés au Musée Curtius à Liège.

Restauration du musée (Remicourt)

En 2001, des travaux de sauvegarde sont entrepris à l’ancienne Maison Communale de Remicourt, mise à la disposition du Musée de Hesbaye.

La maison communale et l’école de Remicourt

En 1877, une maison communale, dite « Maison Commune » est construite à Remicourt. Elle comprend également les deux classes de l’école primaire et le logement de l’instituteur. Elle est installée en bordure de l’Yerne. (Ces bâtiments seront plus tard occupé par le Musée de Hesbaye).

MELOTTE Guillaume est échevin.

La décapitation de l’oie filmée (Saives – Celles)

En octobre 1924, à Saives (hameau de Celles), les services du Musée liégeois de la Vie Wallonne photographient et filment la coutume de la décapitation de l’oie (djeter à l’âwe ou taper à l’âwe), dans la prairie (verger ?) de PIRSON Justine, située derrière le café qu’elle exploite. Une cinquantaine de personnes assistent au concours.

Son père et son grand-père organisaient déjà ce « jeu ».