Vocabulaire néerlandais A1 – A2 (Waremme)

Le 17 juillet 2025, NOVAKOVIC Fanny, de Waremme, publie le livre d’apprentissage du Néerlandais « Vocabulaire Néerlandais A1 – A2 ». Elle est professeur de Néerlandais et d’Anglais à l’Université de Liège. Sa mère est Néerlandaise et son père Croate. Elle a 2 petites filles. Elle est passionnée par les chevaux.

Laboratoire de drogue démantelé (Viemme – Faimes)

Le 31 juillet 2025, vers 5h30, la police judiciaire fédérale investit un laboratoire clandestin d’extraction et de conditionnement de cocaïne, enterré, dans une vaste propriété située au bout de la rue du Moulin à Viemme (Faimes). 10 personnes sont arrêtées (2 Belges, dont le propriétaire des lieux, 6 Colombiens, 1 Néerlandais mineur et 1 Albanais), une centaine de kilos de drogue d’une valeur à la revente de plusieurs millions d’euros est saisie, des armes (2 armes de poing et une grenade offensive), des produits chimiques et du matériel de laboratoire sont saisis.

Constitution de l’ASBL « Hesbaye Pont de l’Amitié » (Waremme)

Le 4 novembre 2014, l’ASBL « Hesbaye Pont de l’Amitié » est constituée à Waremme. Son siège social est installé au n° 91 de la rue Ernest Malvoz à Waremme.

Elle a pour but:

  • l’organisation d’activités artistiques et culturelles
  • l’organisation de voyages
  • l’organisation d’activités sportives
  • l’aide aux jeunes et aux adultes en prestant des cours d’enseignement qui respectent l’enseignement officiel de Math, Sciences et des cours de Français, Néerlandais, Anglais et Arabe, comme inscrit dans la charte « Ouverture aux Langues et à la Culture » (OLC) entre la Communauté Française et le Royaume du Maroc.

Les administrateurs sont:

  • BONNOUH Aziz, Belge, né au Maroc, domicilié rue Saint-Eloi à Waremme
  • BONNOUH Samira, Belge, née en Belgique, domiciliée rue Saint-Eloi à Waremme
  • EL KHATTOUTI Boudli, Belge, né au Maroc, domicilié rue du Pont à Waremme
  • LARAKI Youssef, Belge, né au Maroc, domicilié rue Hubert Stiernet à Waremme
  • MASSAOUI Khadija, Belge, né au Maroc, domicilié rue du Parc à Waremme
  • OUASSAIDI Mustapha, Belge, né au Maroc, domicilié rue Ernest Malvoz à Waremme
  • SOUAGE Boumediene, Marocain, né au Maroc, domicilié rue de la Porte de Liège à Waremme
  • ZEROUALI Said, Belge, né au Maroc, domicilié à Heers

Le tailleur Sainte (Waremme)

En 1954, le tailleur SAINTE A. est installé au n° 36 de la rue Gustave Renier, à Waremme. Il parle le néerlandais.

Une « loi linguistique » passe mal (Belgique – Pays-Bas)

roi guillaume 1er

roi guillaume 1er

Le 15 septembre 1819, GUILLAUME 1er signe une loi qui stipule, qu’à partir du 1er janvier 1823, le néerlandais deviendra la seule langue administrative, judiciaire, financière et militaire dans la partie flamande du pays. 

Cette loi linguistique provoque le mécontentement des « provinces belges », dont l’attachement à la langue française a été renforcé par 20 ans d’occupation française.

Cours de langues du « Grac » (Waremme)

En 2015, l’ASBL « Art & Grac » organise des cours d’apprentissage de langues (néerlandais – anglais), à Waremme.

Les Jeudis du Cinéma (Waremme)

En septembre 2015, le cinéma « Les Variétés » lance l’opération « Les Jeudis du Cinéma ».

Chaque semaine sera projeté un film de cinéma d’auteur contemporain, en version originale, avec sous-titres bilingues (français-néerlandais).

La séance sera animée par un animateur délégué par le service de l’éducation permanente de la Province. A certaines occasions, le réalisateur, l’équipe de tournage ou des témoins du film seront présents.

Des langues en cours du soir (Waremme)

En 1964, une section « langues » (néerlandais – anglais) s’ouvre dans l’Enseignement Technique du Soir de l’Etat à Waremme.

Leburton s’exprime sur le « rapport Blumenthal » (Waremme – Belgique – Congo)

Le 24 novembre 1982, LEBURTON Edmond s’exprime sur le « rapport Blumenthal ».

A la question: « Quelle est votre attitude face aux allégations reprises dans le rapport Blumenthal ?

Je n’ai pas varié depuis le début, à savoir que j’oppose un démenti formel aux allégations contenues dans ce rapport. Je mets en cause sa probité intellectuelle.

Aux questions: « Quelles étaient vos relations avec le président MOBUTU alors que vous étiez Premier ministre ? Que sont devenues ces relations ?

C’est très simple, les mêmes que tout chef de gouvernement. Il n’y a pas une exception depuis lors et, auparavant, c’est en raison de ce qu’était le statut du Zaïre et du Congo belge. Tous ceux qui ont eu des responsabilités dans la vie de l’Etat ont eu des rapports avec le gouvernement de ce qui est devenu la République du Zaïre. Mon problème comme Premier ministre était très simple, c’était d’entretenir des relations normales avec ce pays qui était naguère colonisé et qui est devenu indépendant. Dans le respect de l’indépendance, j’ai eu, bien entendu, des relations avec les responsables du gouvernement.

Pour citer un exemple dont on ne parle pas: lorsque j’étais Premier ministre en 1973, j’ai négocié une commande particulièrement importante pour le barrage d’Inga. Des millions d’heures de travail pour les ACEC de Charleroi  étaient en jeu. J’ai essayé d’obtenir et obtenu du président MOBUTU, que le marché soit confié aux ACEC, plutôt qu’à une entreprise étrangère. Avec le Premier ministre de l’époque, CARL I BOND N’Gusa, j’ai été reçu par une délégation des ACEC, pour me remercier de ce que j’avais fait. En dehors de cela, je conteste avoir reçu quoi que ce soit, parce que c’est indigne de ma personnalité. Je suis heureux d’avoir pu contribuer à la réalisation d’une opération importante pour les ACEC et pour l’économie wallonne.

A la question: « Vous êtes intervenu auprès du président MOBUTU pour obtenir la grâce de Monsieur CARL I BOND N’Gusa alors que celui-ci était condamné à mort. A quel titre êtes-vous intervenu ? Quelles étaient vos relations avec Monsieur CARL I BOND ?

C’est vrai, je suis intervenu, non pas une fois mais deux, en faveur de CARL I BOND N’Gusa, qui a été Premier ministre, afin qu’il ne soit pas exécuté. Le président MOBUTU disait qu’il avait été victime de la trahison de son Premier ministre. Je connais bien CARL I BOND N’Gusa. J’ai estimé qu’exécuter un Premier ministre était un acte grave. J’ai plaidé son cas, avec d’autres, et nous avons obtenu la clémence du président MOBUTU. CARL I BOND N’Gusa a été gracié et est redevenu Premier ministre de MOBUTU.

Je n’ai jamais rien demandé, pas même un centime ! Je n’ai jamais spéculé pour quoi que ce soit dans les affaires de Waremme ou d’ailleurs. Je m’insurge contre de telles affirmations.

Mais ce qui est plus grave, j’accuse MARTENS Wilfried d’avoir comploté contre un certain nombre de personnalités parce que lui-même a été de mèche avec CARL I BOND N’Gusa, pour des raisons qu’il ne m’intéresse pas de connaître. Mais il y a deux ou trois ans de cela, lorsque CARL I BOND N’Gusa était encore « persona grata », il a reçu MARTENS Wilfried à Kinshasa, en néerlandais, ce qui était assez exceptionnel de la part d’un zaïrois. De là sont nées des relations particulières. CARL I BOND a tenu à MARTENS des propos d’une telle bonne volonté que ce dernier s’est laissé séduire et a déclaré, un peu plus tard, « J’aime ce pays, j’aime ce peuple, j’aime ses dirigeants ».

Lorsque CARL I BOND a rompu avec le régime MOBUTU, il est venu en Belgique et a rencontré MARTENS. Ensemble, ils ont manigancé contre MOBUTU et ont demandé à BLUMENTHAL de faire un rapport dont une annexe comportait des accusations non fondées, irresponsables, ignobles, contre un certain nombre de personnalités, dont moi-même, en vue de discréditer MOBUTU. Il y a une évidente complicité entre MARTENS et CARL I BOND. D’autre part, j’accuse MARTENS Wilfried d’avoir utilisé scandaleusement ce rapport pour réaliser une bonne opération électorale.

Il y a actuellement plusieurs actions judiciaires en cours.