Le 11 mai 1868, la Société Libérale de Waremme:
- Réélit son comité: FALLA, bourgmestre de Neerwinden, remplace DETIENNE, décédé;
- Confirme ses candidats pour les prochaines élections provinciales: LEJEUNE et ROSELIER (malade).
Le 11 mai 1868, la Société Libérale de Waremme:
Le 28 (?) juillet 1693, alors qu’il commande l’aile gauche de l’armée de LOUIS XIV, l’officier de l’armée française, SARSFIELD Patrick, Comte DE LUCAN, est blessé à la bataille de Neerwinden. Il décèdera à Huy.
Le 9 juin 1870, le Comité Central de la Société Libérale de l’Arrondissement de Waremme est composé de:
Le 30 juillet 1693, après la bataille de Neerwinden, l’armée française prend la direction de Waremme, à cause du danger d’infections né de la décomposition des corps et du manque de vivres.
Les soldats demeurent à Corswarem jusqu’au 13 août, pillant fourrages et grains à plus de deux lieues à la ronde. Les maisons et même les églises sont pillées. La plupart des habitants fuient en emportant leurs biens les plus précieux.
Le camp des Français est installé au point culminant situé entre Corswarem et Berloz.
Le 29 juillet 1693, la bataille de Neerwinden fait de nombreuses victimes : huit mille chez les Français et douze mille chez les Alliés. Les rues du village de Neerwinden sont « comblées plutôt que jonchées » d’une quantité prodigieuse de corps, dira le duc de Saint-Simon qui assiste à la bataille.
Le 28 juillet 1693, à la veille de la bataille de Neerwinden, l’avant-garde de l’armée française traverse Waremme. Les officiers de LOUIS XIV, dont le Maréchal DE JOYEUSE, Monsieur DE LUXEMBOURG, Monsieur DE CHARTRES, le Prince DE CONTI, Monsieur DE SAINT-SIMON, utilisent comme observatoire, pour apercevoir les troupes ennemies dont le camp se trouve en deçà de la Gette, un moulin à vent qui s’élève dans l’actuelle rue des Champs, à peu près en face de la Plate-Tombe.
Ce moulin était très ancien. Il portait autrefois le nom de moulin de l’Evêque. Son existence est déjà mentionnée dans un texte de 1348. (Il sera détruit peu avant 1889).
Cette bataille ponctue une guerre de 9 ans. La moitié de l’Europe est liguée contre le Roi de France LOUIS XIV, dont l’armée est commandée par le Maréchal DE LUXEMBOURG. Une partie des toupes françaises passe à Berloz et à Corswarem, de part et d’autre du « Moulin Blanc ». La route est difficile, il y a des orages violents. Les soldats de LOUIS XIV et surtout les « piotes » (c’est-à-dire ceux qui sont à pied) sont harassés par la marche et la fatigue. Ce n’est que le lendemain, vers 4h15 du matin, qu’ils seront en mesure d’attaquer et de défaire les armées alliées, conduites par D’ORANGE Guillaume.