Le 14 mars 1891, en séance du Conseil Communal de Waremme, RENIER Eugène propose un plan de nivellement des remparts. Il est soutenu par:
- DOTRENGE
- MARCOTTY
- GERBEHAYE
Le 14 mars 1891, en séance du Conseil Communal de Waremme, RENIER Eugène propose un plan de nivellement des remparts. Il est soutenu par:
Vers 1919 (?), un kiosque à musique est installé à Waremme, à l’angle de la propriété du Baron DE LAFONTAINE et des anciens remparts nivelés. Cet endroit est appelé « Le Casino » (Il est situé à l’angle de la future avenue Guillaume Joachim et de la future rue du Baloir)
Le 14 mars 1891, RENIER Eugène, commerçant, DOTRENGE, MARCOTTY et GERBEHAYE H. Victor présentent un plan de nivellement des remparts de Waremme, devant le Conseil Communal de la ville.
DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond estime ce plan « stupide ».
Le 10 novembre 1904, le bourgmestre de Waremme, le notaire LEJEUNE Charles, présente sa démission, à l’issue d’un nouveau débat orageux au Conseil Communal, sur le sujet du nivellement des remparts de la ville.
A partir de 1870, le sujet du nivellement des remparts de Waremme, revient régulièrement à l’ordre du jour du Conseil Communal de la Ville et engendre souvent des débats orageux.
En 1914, après le nivellement des remparts de Waremme, l’artère allant de la Porte de Liège à la rue du Baloir est appelée avenue des Tilleuls. Plus tard, elle sera prolongée et portera le nom d’avenue Guillaume Joachim. Une autre artère, allant de la Porte de Liège vers la Porte de Saint-Trond est appelées avenue des Platanes. Elle sera plus tard appelée avenue Henri Monjoie.
Ces artères ne sont encore que de larges bandes de terre enherbées, où paissent quelques animaux et où jouent les enfants.
Le 10 novembre 1904, le conseil communal de Waremme est le siège de débats orageux, à propos du nivellement des remparts. Le bourgmestre LEJEUNE Charles décide de présenter sa démission.