En 1847, un tertre de 10 mètres de hauteur et de 30 mètres de diamètre est nivelé à Ligney (dans une prairie de la future ferme DEVILLERS). Dans le caveau, on y découvre un médaillon en ivoire sculpté, ainsi que des lampes en terre cuite. Ces objets seront conservés au Musée Curtius à Liège.
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Nivellement du Geer (Waremme)
Le 23 septembre 1890, le commissaire-voyer de Waremme LHOIST, son ouvrier cantonnier STREEL, CROTTEUX Isidore et MINNEN commencent le nivellement des bras du Geer à Wachnet.
Projet de nivellement des remparts (Waremme)
Le 14 mars 1891, RENIER Eugène, commerçant, DOTRENGE, MARCOTTY et GERBEHAYE H. Victor présentent un plan de nivellement des remparts de Waremme, devant le Conseil Communal de la ville.
DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond estime ce plan « stupide ».
Les anciens remparts cultivés (Waremme)
En 1917, le commissaire d’arrondissement de Waremme et président du « Coin de Terre », HALLET Emile, propose d’exploiter les terres à l’endroit où s’élevaient les remparts, récemment nivelés.
Le « Coin de Terre » est une oeuvre qui met à disposition des familles un lopin de terre pour subvenir à leurs besoins, en cultivant de légumes et des pommes de terre. A Waremme, il y a 82 familles réparties sur 715 ares.
Projet de nivellement des remparts de Waremme
A partir de 1870, le sujet du nivellement des remparts de Waremme, revient régulièrement à l’ordre du jour du Conseil Communal de la Ville et engendre souvent des débats orageux.
Des pommes de terre sur les anciens remparts (Waremme)
Le 8 mai 1916, dans le but de cultiver des pommes de terre en grande quantité, on se décide à charruer les trois hectares des anciens remparts de Waremme qui ont été nivelés.
Les Remparts de Waremme sont rasés
En octobre 1914, désireux d’occuper les chômeurs involontaires de la commune, afin qu’ils ne soient pas contraints de partir travailler en Allemagne, le bourgmestre faisant-fonction de Waremme, JOACHIM Guillaume, décide de les mettre au travail dans le grande entreprise de terrassement des remparts de la ville. Il engage donc 200 ouvriers qu’il paie 2 francs par journée de 8 heures de travail, pour effectuer le travail colossal de retirer 6.145 m3 de terre à la pelle et à la pioche. Ces travaux sont effectués avec l’accord de l’occupant allemand.
La disparition des remparts permettra à la ville de s’agrandir. Des chemins droits comme des sillons seront tracés à travers prés et champs, en bordure de la ville. L’une de ces artères est appelée « avenue des Tilleuls ». Progressivement, des maisons seront construites le long de ces chemins.
La « Motte féodale » sera nivelée (Waremme)
Le 11 avril 1839, le Conseil Communal de Waremme prend la décision de niveler la motte féodale, sur laquelle s’élevait jadis le château de Waremme, car le terrain qu’elle occupe est absolument nécessaire pour y installer le jardin du curé. En effet, la commune ne possède aucun autre terrain convenable à proximité de la maison pastorale. Le conseil évalue le coût de ces travaux à 300 ou 400 francs. Il compte financer ceux-ci en procédant à la vente des arbres qui croissent sur la butte et sur le terrain joignant et qui devrait lui rapporter 352 francs.