Le 20 mai 1946, une pierre commémorative, à la mémoire de LACROIX Léonard, déporté pour travailler en Allemagne et décédé dans un bombardement à Regenburg à l’âge de 23 ans, est inaugurée sur la façade de l’école communale de Hollogne-sur-Geer. Une rue du village portera son nom.
Le 4 novembre 1949, JOANNES Jean-Baptiste décède à Ligney (Darion ?) des suites de la tuberculose contractée durant sa captivité en Allemagne. Une rue du village portera son nom.
Aux 15ème et 16ème siècles, les descendants des seigneurs d’Omal, conquis par les idées de la Renaissance, latinisent leur nom et se font appeler « D’OMALIUS ».
Le 12 mai 1940, le soldat du 15ème d’Artillerie, WAELKENS Gérard, de Wortegem, arrive à Geer en vélo, venant de Lens-Saint-Servais. Il tombe sur un détachement de l’armée allemande, qui ouvre immédiatement le feu. Il est mortellement blessé. Sa veuve est GOETHALS Aimée. Il sera inhumé à Waremme.
(La commune lui érigera un petit monument et donnera son nom à une de ses rues).
gérard waelkens – stèle
En 1595, DE GEER DE GAILLARDMONT Louis – descendant de la famille des Barons DE HAMAL DE BRIALMONT qui a pris le nom de Geer où il possède un manoir – s’enfuit vers la Hollande, avec sa famille, dans une charrette.
Il est protestant et le Prince-Evêque de Liège, DE BAVIERE Ernest, a déclaré la guerre aux hérétiques.
Vers 1300, DE HAMAL DE BRIALMONT Eustache prend le nom de la Seigneurie où il possède un manoir, « Geer », pour se distinguer de son frère aîné, DE HAMAL DE BRIALMONT Guillaume.
En 1889, un immeuble est construit (par le Collège Saint-Louis ?) près du viaduc de la rue de Faimes (qui deviendra plus tard la rue de Huy), à Waremme.
Il sera menacé de destruction à plusieurs reprises, mais il y échappera si longtemps qu’il sera rebaptisé « L’Alcazar » (forteresse espagnole du Moyen-Âge).
En ? (avant la Première Guerre Mondiale), la famille COCHOUL exploite une ferme à Waremme.
(Elle donnera son nom à une rue de la ville).
Le 7 mars 1960, NICOLAS Joseph décède à (?). Il a été bourgmestre de Bovenistier pendant plus de 25 ans.
(On donnera son nom à une rue près de l’église du village)
En 1888, l’archéologue liégeois, DEPUYDT Marcel, découvre les traces d’une ancienne civilisation, à Tourinne, Latinne et Vieux-Waleffe. Mais c’est à Omal que ces traces sont les plus importantes.
Il donnera donc le nom de « Omalienne » à cette civilisation.