Frigo solidaire (Noville – Fexhe-le-Haut-Clocher)

En novembre (?) 2023, un frigo solidaire est installé à Noville (Fexhe-le-Haut-Clocher). Chacun peut y déposer de la nourriture à destination des moins favorisés. Les plats doivent être étiquetés avec la date de préparation et celle du dépôt. Les produits congelés et l’alcool sont interdits. Le frigo est accessible 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24. Il est rempli 2 fois par semaine.

Ce projet est à l’initiative de FOURNEAU Christine, habitante du village, conseillère au CPAS.

Un toit de hangar s’effondre (Faimes)

Le 12 janvier 2025, le toit du hangar, qui abrite le foin destiné à nourrir les animaux de l’ASBL « Animal Sans Toit » à Faimes, s’affaisse sous le poids de la neige. Le président de l’ASBL est RENARD Fabrice.

Des troupes campent à Oleye

En 1746, des troupes s’installent à Oleye, à plusieurs reprises, et se livrent à des exactions. Elles doivent être nourries par les habitants.

Le mayeur du village est LEJEUNE Gilles-Jean-François.

En 1688, quelques prix (Waremme)

En 1688, quelques prix dans la région de Waremme – Hodeige:

    • la nourriture pour 3 maçons pour 1 jour 1/2 (soit 15 repas): 1 florin 10
    • 1 pot de bière: 1 patar

Des cavaliers à Lamine

Vers 1745 (?), la paroisse de Lamine doit loger, pendant un mois, un capitaine de cavalerie avec 24 hommes et leurs chevaux. Outre la nourriture des hommes, elle doit également fournir 200 mesures d’avoine, ainsi que tout le foin et le fourrage, nécessaires aux animaux.

Les ouvriers ne peuvent se payer le train (Waremme – Liège)

Jusqu’en 1869, il n’est pas possible pour un ouvrier waremmien de faire quotidiennement les trajets de Waremme à Liège, vu le prix du ticket. En effet, le trajet aller-retour coûte 2 francs, soit le salaire de 2 journées de travail sans nourriture. C’est pourquoi il n’utilise que très rarement ce moyen de transport.

Les Récollets, Ordre Mendiant (Waremme)

Aux 17ème et 18ème siècles, les Pères Récollets de Waremme, qui appartiennent à la classe des Ordres Mendiants, ne peuvent posséder au plus que:

  • un local pour les abriter;
  • une bibliothèque pour les instruire;
  • un four;
  • une brasserie;
  • un moulin;
  • un jardin pour les nourrir et leur fournir une certaine somme de travail manuel;
  • une église pour leurs offices;
  • un cimetière pour y reposer.

En dehors de cela, rien ! Aucune terre, aucune rente, avec l’obligation de mendier leur pain quotidien, en se fiant à la Providence.

A Waremme, quand chaque semaine ou chaque mois, ils parcourent les rues, les pieds nus, avec besace au dos, demandant humblement leur pain, jamais cette besace ne revient vide.

Logement de troupes (Hollogne-sur-Geer – Belgique)

Le 21 août 1831, le bourgmestre de Hollogne-sur-Geer, DE LA HAULT Laurent, écrit au Ministre de la Guerre DE BROUCKERE pour lui signaler que du 14 au 18 août, la Compagnie des Guides à cheval et 2 escadrons du 2ème Chasseur de l’Armée de la Meuse commandée par le général DAINE, soit 430 soldats et 450 chevaux, ont été logés et nourris dans le village.

Le sous-instituteur Germau (Lamine)

En 1863, Monsieur GERMAU est sous-instituteur à Lamine. Il perçoit un salaire annuel de 300 francs et est nourri par le chef d’école.

Le prix d’un billet de train (Waremme – Ans)

En 1840, le prix d’un ticket de chemin de fer en troisième classe, de Waremme à Ans, coûte 1 franc. Cela équivaut au salaire d’une journée, sans nourriture, pour un journalier.