A partir de 1818, avant d’entrer en fonction, les bourgmestres et conseillers communaux belges doivent prêter le serment suivant:
« Nous jurons obéissance et fidélité à sa Majesté, le Roi des Pays-Bas, et à la Loi Fondamentale ».
A partir de 1818, avant d’entrer en fonction, les bourgmestres et conseillers communaux belges doivent prêter le serment suivant:
« Nous jurons obéissance et fidélité à sa Majesté, le Roi des Pays-Bas, et à la Loi Fondamentale ».
En 529, SAINT-BENOIT rédige sa « Règle », l’ensemble des instructions destinées aux communautés de moines. Il fixe le temps imparti à la prière et au travail. Il insiste sur l’obéissance et la nécessité d’étudier.
Cette règle va poser les bases de la vie monacale dans le monde chrétien tout entier.
Le 15 juillet 1801, le Premier Concordat est signé entre le Premier Consul BONAPARTE et le Pape PIE VII, il règle les rapports entre l’Eglise et l’Etat.
Il vient mettre un terme à toutes les tracasseries des autorités républicaines et le culte peut, à nouveau, s’exercer librement. Cependant, le clergé est placé sous la surveillance du pouvoir civil : les Evêques sont nommés par l’Empereur ; les curés sont nommés par l’Evêque parmi les personnes agréées par le gouvernement. Ils doivent prêter serment de fidélité et d’obéissance au gouvernement. Chaque commune est autorisée à reprendre les cloches qui avaient été retirées des églises en 1797. Celles du canton de Waremme avaient été stockées dans l’ancien couvent des Récollets, notamment, parmi les plus anciennes, une cloche de 1353 de l’église paroissiale Saint-Pierre, une de 1314 du village de Marlinne, une autre de 1371 du village de Bleret.
La nouvelle organisation de l’Eglise est copiée sur celle de l’administration civile:
C’est ainsi qu’une ou deux paroisses sur trois est supprimée et est rattachée comme « chapellenie » à une paroisse voisine.
Certaines dénominations changent:
Le Concordat va ramener la paix religieuse dans la région de Waremme et apaiser les consciences. Toutefois, les biens de l’Eglise, qui ont été confisqués et vendus, ne lui sont pas restitués.
(Un certain nombre d’acquéreurs de ces biens sont des citadins de Liège)