En novembre 2024, LHOEST Justine, de Remicourt, propose un service de personnalisation d’objets (gobelets réutilisables, affiches, cadres, sacs, …). Elle dispose du site internet « Creaway by Justine ». Elle est diplômée ingénieur de gestion et est passionnée de graphisme et de design.
Archives par mot-clé : objets
Joseph Hauteclair condamné à mort (Fontaine – Jeneffe)
Le 8 mai 1779, HAUTECLAIR Joseph, dit « Le Pêcheur », s’introduit dans la demeure du sieur VIGOUREUX à (Fize ?) Fontaine, et y dérobe quelques vêtements et objets. Il sera condamné par la cour de justice de Jeneffe à être pendu et étranglé à une potence, jusqu’à ce que mort s’en suive.
Exposition L’Ancien Remicourt
Vers 1958 (?), LEUNEN Alphonse et SEVENANTS Paul réunissent des objets naguère couramment utilisés et les présenteront au public dans le cadre d’une exposition intitulée « L’Ancien Remicourt », en novembre 1960, dans la petite salle du café GAUNE.
Les grands tumulus de Hesbaye (types de caveaux)
En juin 1986, quelques considérations sur les grands tumulus de Hesbaye.
La cérémonie des funérailles comportait souvent une crémation et un festin funéraire, suivis du dépôt de « l’ustrinatum ». Cette succession de moments privilégiés était sans doute destinée à impressionner les assistants.
L’aménagement du caveau, le choix et la disposition du mobilier et des objets qui y sont placés, ont une toute autre signification: celle d’un abri durable pour le défunt, de son confort et de ses besoins dans l’au-delà.
Les premières remarques concernent un éventuel décentrage ou décentrement du caveau sur la bas du tertre, puis sa hauteur ou sa profondeur par rapport au niveau de cette aire.
1) Si le centre du tumulus est souvent indiqué par la trace d’un pieu (carré, rectangulaire ou circulaire), parfois ce pieu n’est pas implanté au centre. Parfois même, il peut être implanté en dehors du caveau, à la périphérie du tertre. (A Celles, le pieu central est fiché dans le caveau; à Waremme-Longchamps, il est planté en dehors du caveau).
Au fil des siècles, des tertres ont parfois subi des glissements ou des transformations imputables, tantôt à des phénomènes naturels d’érosion, tantôt à une intervention humaine. De compacte au moment de son érection, la masse du tertre, abri privilégié pour les terriers de lapins et autres rongeurs, a pu s’effriter à cause de la végétation, buissons et arbres qui y ont poussé avec le temps, si bien que ses terres se sont écroulées au pied du monticule, dans le sens des vents ou pluies dominants, recouvrant le tambour de pierre dont certains étaient entourés. (Tel celui de Waremme-Longchamps).
Des labours ont pu ronger le périmètre, voire les flancs du tertre, au point de modifier son aspect originel:
- En 1890, le tumulus de Hodeige avait la forme d’un parallélogramme de 28 mètres de longueur, 7 mètres de largeur et 3 mètres de hauteur. Un important mobilier du milieu du 2ème siècle y est trouvé (notamment, un brûle-parfum en bronze et 14 pièces en céramique).
- En 1876, la « Plate-Tombe » de Waremme est fouillée. Elle se présente sous la forme d’un carré de 20 mètres de côté et de 3 mètres de hauteur. Le tumulus a été pillé. Les pillards ont creusé un puits central.
2) La fosse destinée au caveau a presque toujours été creusée dans le sol vierge. Le fond peut avoir une profondeur très variable (1 mètre 70 pour le tumulus de Hodeige). Parfois la partie supérieure du caveau se trouve sous le niveau du sol primitif. Ces constatations tendent à montrer que l’enfouissement des cendres, de « l’ustrinatum », et du mobilier, avant leur couverture sous un tertre, ne constitue pas une règle générale.
3) La fosse, destinée à l’accueil de coffrages en bois ou de caveaux dallés, a parfois des dimensions plus considérables que son contenu. Les interstices entre la fosse et le caveau sont parfois comblés par les résidus du bûcher.
Les tumulus à chambre funéraire, sans coffrage, avec ou sans couvercle
Plusieurs tumulus de Hesbaye recouvrent un caveau (généralement de grandes dimensions) creusé dans le sol vierge très dur et sec. Le riche mobilier déposé dans les caveaux de ce type est parfois protégé par un couvercle en bois. (Le caveau de Celles a une forme trapézoïdale de 4 mètres 50 / 4 mètres 74 sur 5 mètres / 5 mètres 50 et 4 mètres de profondeur, creusé dans le sol vierge, avec mobilier. Le caveau de Hodeige de 3 mètres 25 de côté. Le caveau de Waremme-Longchamps de 3 mètres sur 3 mètres, creusé dans l’argile vierge, pillé par une galerie).
Les tumulus à chambre funéraire, avec coffrage, avec ou sans fond et couvercle
Dans la plupart des cas, la présence d’un coffrage se signale par une trace noirâtre de bois en décomposition et par des clous (la tête face l’extérieur). Le coffre a souvent été fabriqué en dehors de la fosse pour y être déposé au moment de l’exposition du mobilier, mais parfois, il a été confectionné sur place, dans la fosse creusée au préalable.
Un couvercle en bois peut servir d’assiette à « l’ustrinatum » (Le tumulus de Braives, fouillé en 1873 par DE LOOZ G., qui présente un caveau de 2 mètres 50 sur 2 mètres et 70 centimètres de profondeur, contenait des clous signalant l’existence d’un coffrage contenant un important mobilier de la période flavienne).
Les chambres funéraires à coffrage sous tumulus font leur apparition à la période de Hallstatt. Elles sont aussi connues en Thrace, où quelques tumulus de ce type datent du 5ème siècle ACN. Mais pour en revenir aux tumulus d’époque romaine, les caveaux à coffrage se rencontrent presque exclusivement dans les provinces occidentales de l’Empire dominées par les Tongres.
La Hesbaye et la partie orientale du Condroz sont des contrées où se rencontrent les grands mausolées tumélaires à coffrage, de la 2ème moitié du 1er / 2ème siècle PCN.
Les tumulus à caveau avec parois, avec ou sans fond, et couvercle de pierre
Loin d’être l’apanage de la classe dominante de la cité des Tongres, ce genre de caveau est aussi réservé à celle des anciennes cités des Trévires, des Nerviens et des Ménapiens. Il se présente sous des aspects divers pouvant être ramenés à deux types principaux:
- les caveaux dallés
- les caveaux à parois muraillées
En conclusion, les caveaux à coffrage l’emportent de loin sur les caveaux sans coffrage, sur les caveaux dallés et sur les caveaux à parois muraillées.
Les caveaux ne contiennent, pour la plupart, qu’une seule incinération, rarement deux.
Là où les fossoyeurs ont rencontré un sous-sol résistant, ils n’ont sans doute pas jugé bon de renforcer les parois de l’excavation par un coffrage pour la protection du mobilier. Par contre, un tel coffrage se serait révélé nécessaire dans les cas de caveaux creusés dans des couches moins dures.
Les caveaux dallés se trouvent à proximité de régions où des carrières sont capables de fournir des dalles de grandes dimensions. L’éloignement de ces carrières a obligé les habitants du Centre, du Nord et de l’Est de la cité des Tongres à avoir recours aux seuls matériaux disponibles sur place: le bois et, exceptionnellement, des blocs de roche locale.
Fouille des tumulus n° 2 et n° 4 (Omal)
En 1850, SCHAYES A.-G.-B., conservateur au Musée Royal d’Armures et d’Antiquités de Bruxelles, fait fouiller les tumulus n° 2 et n° 4 à Omal.
Dans le tumulus n° 2, on trouve une couche de terre mêlée de charbon de bois et de cendres, et un caveau quadrangulaire renfermant quelques objets et débris (?).
Les fouilles du tumulus n° 4 sont interrompues, à la suite d’un éboulement.
Tumulus nivelé (Ligney)
En 1847, un tertre de 10 mètres de hauteur et de 30 mètres de diamètre est nivelé à Ligney (dans une prairie de la future ferme DEVILLERS). Dans le caveau, on y découvre un médaillon en ivoire sculpté, ainsi que des lampes en terre cuite. Ces objets seront conservés au Musée Curtius à Liège.
Les tumulus fouillés (Omal)
En 1851, les tumuli d’Omal sont fouillés par l’archéologue SCHAYES. Les objets découverts permettent de les dater de l’époque de l’empereur HADRIEN.
Tombe du 4ème siècle à Celles
En 1909, la famille de l’abbé DEMARTEAU Victor, décédé, fait don à l’Institut Archéologique Liégeois des objets qu’il a recueillis dans une sépulture à inhumation, qu’il a découverte et fouillée sur le territoire de la commune de Celles. Cette tombe peut être datée du 4ème siècle PCN.
Fouilles au Tumulus d’Avennes
En 1873, DE LOOZ Georges creuse une galerie dans le flanc Sud du Tumulus d’Avennes, sur le territoire de Braives, à la périphérie du vicus-gallo-romain, au Sud de la Chaussée Romaine. Il y découvre un caveau de 2m10 sur 2m. Un grand cercueil en bois contient une urne avec les cendres d’un défunt. Il y découvre également un cinquantaine d’objets en bronze, céramique, …
Journées du Patrimoine à Waremme
Les 10 et 11 septembre 2016, les 28èmes Journées du Patrimoine sont organisées à Waremme, sur le thème « 1900, la Belle Epoque ». Des expositions d’objets, de documents et de photos sont proposées en différents lieux de la ville. Des panneaux explicatifs et des guides éclairent les visiteurs sur différents sujets.
A la Bibliothèque Pierre Perret
Accès à l’eau
- Le Geer et le paysage
- L’hygiène
- Les fontaines de Waremme
- Les pompes publiques
Croyances populaires
- Soigneurs et guérisseurs
- Les saints protecteurs
- Les « porte-bonheur »
A l’Eglise Saint-Pierre
Religion catholique
- La paroisse
- Les églises
- Le petit patrimoine religieux
- Les fêtes religieuses
- La procession
A l’Hôtel de Ville
Physionomie de Waremme
- Les remparts et le « Nouveau Quartier »
- L’éclairage public
- La démographie
- L’architecture
- Les Villas
A la Justice de Paix
Agriculture et vie quotidienne
- Les techniques agricoles
- L’agriculture à Waremme
- L’organisation du travail
- Le travail des enfants
- Les fêtes agricoles
- La pauvreté
- La betterave
Industries et commerces
- L’industrie du sucre
- L’industrie agricole et la motorisation
- Les moulins
- Les industries de la boisson
- Les petites industries et l’artisanat
- Le commerce
A l’Institut Notre-Dame
Ecoles
- L’enseignement officiel
- L’enseignement libre
- La vie scolaire au quotidien
- L’éducation des adultes
Au Syndicat d’Initiative de Hesbaye
Loisirs
- Les cafés
- Les fêtes populaires
- Les compétitions traditionnelles
- Les jeux d’enfants
- Les sports
- Les arts
A la Poste
Moyens de communication
- Le train
- Le vicinal
- La poste
- Le téléphone
- Les routes
- « Comment se déplaçait-on au début du 20ème siècle »