Les armes saisies (Waremme – Allemagne)

En mai 1940, conformément aux ordres de l’occupant, le bourgmestre de Waremme, JOACHIM Guillaume ordonne que toutes les armes des habitants soient saisies. Elles seront stockées dans les caves de l’Hôtel de Ville.

Fermeture des cafés (Waremme – Allemagne)

En 1914, l’occupant Allemand décrète que les cafés de Waremme doivent être fermés à 22 heures, heure allemande (soit 21 heures en Belgique).

« Le Soir » à nouveau libre (Belgique)

En septembre 1944, ROSSEL Marie-Thérèse reprend le contrôle du journal « Le Soir », confisqué par les propagandistes allemands dès juin 1940. Nombre de journalistes, qui ont refusé de travailler pour l’Occupant, rejoignent la propriétaire du « Soir ».

Les denrées alimentaires rationnées (Belgique – Allemagne)

Le 7 juin 1940, le Moniteur belge publie l’arrêté  ministériel qui instaure le rationnement des denrées alimentaires imposé par l’occupant allemand.

La ration journalière maximum est fixée à :

  • pain ou farine : 170 gr par jour
  • café vert : 10 gr par jour
  • féculents, semoule de céréales, gruau d’avoine : 20 gr par jour
  • légumes secs : 20 gr par jour
  • sucre : 30 gr par jour
  • pommes de terre : 500 gr par jour
  • savon : 20 gr par jour.

Les Allemands réquisitionnent des voitures (Waremme – Allemagne)

Début 1941, les Waremmiens, qui ne peuvent justifier de l’usage professionnel de leur voiture, sont « invités » à la livrer à l’occupant allemand.

Les Etablissements Doyen paient leur collaboration avec les Allemands (Waremme)

Après la libération de la ville, une partie de la population waremmienne s’acharne sur l’entreprise de machines agricoles « Les Etablissements DOYEN », situés près de la gare. Ces habitants veulent s’en prendre à ceux qui ont collaboré économiquement avec l’occupant. Les dégats sont considérables.