Menace des émigrés liégeois

En septembre 1458, HUMBRECOURT avertit DE CORSWAREM Arnould VI de l’imminence d’une attaque des émigrés liégeois contre la Principauté et l’engage à occuper les passages sur la Meuse.

Arrivée de la nouvelle cloche (Rosoux)

Le 12 août 1950, une nouvelle cloche arrive à l’église Saint-Maurice de Rosoux, pour remplacer celle qui a été enlevée par les Allemands pendant l’Occupation.

Commande d’une nouvelle cloche (Rosoux)

Le 1er mars 1950, le Conseil de Fabrique de Rosoux lance une procédure d’adjudication auprès de 4 fondeurs, pour remplacer la cloche de 533 kilos, enlevée par les Allemands durant l’Occupation. C’est SLEGEERS Georges, fondeur à Tellin, qui sera retenu.

Il évaluera les travaux à:

  • 38.900 francs, pour la cloche
  • 1.000 francs pour le battant
  • 800 francs pour les accessoires
  • 3.600 francs pour le placement

Le Conseil de Fabrique sollicitera le subside de l’Etat.

Invasion des troupes croates de Jean de Weert (Liège – Hesbaye – Waremme)

Le 18 février 1636, le Baron DE WEERT Jean entre dans la Principauté de Liège avec une armée de 4000 Croates. Ce général, désirant loger ses soldats dans les villes, adresse aux bourgmestres des lettres de convocation, pour se concerter avec eux dans une assemblée générale. Mais le Chapitre de Saint-Lambert et les députés des Etats défendent à ceux-ci de se rendre à cette assemblée et, surtout, de consentir à ce projet

Mais dans l’entretemps, des détachements croates occupent déjà plusieurs Bonnes Villes peu fortifiées, telles Waremme et Looz, et extorquent à d’autres villes (Tongres, Hasselt, Saint-Trond, …), par leurs menaces, de l’argent et des vivres. La plupart des villages de la Hesbaye et de la Campine sont épuisés.

Les Eburons près du Geer

Vers 51 ACN, des Eburons sont installés près du Geer, (dans la région où se trouvera plus tard Waremme). Ils occupent des villages de huttes. Ils érigent des pierres dressées (dolmens) et des autels de pierres destinés à l’exercice de leur culte.

La région est sillonnée par des meutes de loups, des ours et différents types de ruminants.

La crèche dans la maison Colson (Remicourt)

Le 7 janvier 1925, les Hospices Civils de Remicourt proposent à la commune de lui céder la maison « COLSON », occupée par BRENNE Martin, pour y établir une crèche. La commune accepte et mandate l’architecte BRICTEUX pour réaliser les plans de transformation.

Projet de construction reporté (Remicourt)

Le 12 décembre 1924, après plusieurs débats sur le sujet de la construction d’une crèche dans le village avec le legs de MELOTTE Jules, le conseil communal de Remicourt estime que le projet n’aboutira pas avant août 1925. Il prolonge donc le bail de la maison occupée par BRENNE Martin.

Dédoublement de classe (Remicourt)

Le 26 octobre 1936, la classe de MELON Julienne, à l’école de Remicourt, est dédoublée. LEUNEN Alphonse occupe le nouvel emploi.

Cohabitation à Remicourt

Le 8 juin 1922, PETITJEAN Hector, instituteur à l’école des garçons de Remicourt, déclare que deux pièces d’habitation lui suffisent et que les autres pièces de l’immeuble peuvent être occupées par BRONCKART Edgard, garde-champêtre, qui s’acquittera du loyer en nettoyant les écoles et la Maison Communale.

Exposition « 1940 – 1945: l’Occupation » (Waremme)

Du 12 au 24 novembre 2001, le Centre Culturel de Waremme organise l’exposition intitulée « 1940 – 1945 : l’Occupation – propagande, menaces, exécutions ».

LOWETTE José en rédige le fascicule.