Il faut déblayer les décombres (Waremme – Allemagne)

Le 29 août 1944, le commandant de la place de Waremme, UNFRIED Paul, ordonne au bourgmestre, JOACHIM Guillaume, de déblayer le plus rapidement possible la rue Joseph Wauters et la rue de Huy, afin de permettre le passage des véhicules;

Les tombes allemandes (Waremme)

Le 8 mars 1942, le commissaire d’arrondissement de Waremme adresse une lettre au bourgmestre, JOACHIM Guillaume, lui intimant l’ordre de nettoyer les tombes allemandes pour le 15 mars, « jour commémoratif des héros allemands ».

Les armes saisies (Waremme – Allemagne)

En mai 1940, conformément aux ordres de l’occupant, le bourgmestre de Waremme, JOACHIM Guillaume ordonne que toutes les armes des habitants soient saisies. Elles seront stockées dans les caves de l’Hôtel de Ville.

Tous les chevaux doivent être présentés aux Allemands (Waremme – Allemagne)

Le 24 septembre 1915, le commandant BERG de Waremme, ordonne que tous les chevaux de la ville soient présentés, sans exception, sur la place de la Gendarmerie, le dimanche 26 à huit heures du matin.

Les Allemands occupent Waremme

Le 17 août 1914, dans l’après-midi, le commandant allemand STERNBERG prend possession de la Gare et donne l’ordre à l’administration communale de Waremme de lui remettre toutes les armes se trouvant dans la ville.

Elles seront conservées durant toute la guerre dans les caves de l’Hôtel de Ville.

Les mambours doivent remettre leurs registres à la ville (Waremme)

Le 13 septembre 1789, le conseil communal de Waremme donne l’ordre au curé de Waremme et au commissaire DANGLURE de lui remettre les registres et documents des diverses mambournies de la ville. Ils s’exécuteront après quelques hésitations.

Un agneau aux Pères Récollets (Waremme)

Le 12 juin 1680, la Confrèrie des Archers de Saint-Sébastien de Waremme, donne ordre à son gouverneur de gratifier d’un agneau les Pères du Couvent des Récollets.

Vente du « Cortis proidhomme » (Waremme)

Le 22 mars 1420, l’Official de Liège ordonne au curé de Waremme-le-Château, THOMAS Jean, de publier dans son église, trois dimanches consécutifs, que le doyen et le chapitre de Saint-Martin à Liège, ont l’intention de vendre un pré nommé « Le Cortis proidhomme », situé audit Waremme, près du chemin qui va de Longchamps à Huy, et que l’on peut surenchérir le prix offert par ROMAN DE MONTENGNIS Jean (de Montenaken) et par LE TINDEUR Jean, teinturier à Waremme.