Le 1er septembre 2015, l’école du « Clair Matin » est réouverte après 6 mois de travaux. C’est une implantation de l’école fondamentale « Notre-Dame. Elle est située au n° 35 de la rue du Tumulus à Waremme.
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« Waremme découverte »
Du 4 au 6 mars 2016, les commerçants de Waremme organisent l’opération « Waremme découverte ». Le première édition de cette opération s’appelait « Waremme mode ».
Les boutiques de la ville restent ouvertes en nocturne et le dimanche.
L’atelier de soudure de la SPRL « Lieben – Raskinet » (Verlaine)
En 2015, LIEBEN Jean-Marc ouvre un magasin dédié à la soudure, à Verlaine. Sa société, la SPRL « LIEBEN – RASKINET » est installée au Chemin de l’Yerne.
Jean-Marc Lieben, ferronnier (Verlaine)
En 1996, LIEBEN Jean-Marc ouvre un atelier de ferronnerie d’art, à Verlaine.
Nestor Meureau, garde-salle (Waremme)
En 1944, MEUREAU Nestor est le garde-salle de la gare de Waremme. C’est lui qui ouvre les portes de la salle d’attente, pour permettre aux voyageurs de sortir sur le quai. Il habite au n° 52 de l’avenue Emile Vandervelde.
Jeanne Stouvenakers, sauvée (Waremme)
Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe tombée à l’arrière du magasin de l’électricien PUTZEYS Louis, le pharmacien SAINT-GEORGES Joseph et son frère SAINT-GEORGES Lucien s’introduisent sous les décombres par l’ouverture qui a permis à HINNISDAELS Yvonne de sortir. Ils ont entendu une voix. Ils arrivent près de STOUVENAKERS Jeanne. Ses jambes sont bloquées par une grosse poutre en béton. Il l’a brise avec une masse. En raison de la corpulence de STOUVENAKERS Jeanne, il n’est pas possible de la faire sortir par l’ouverture par laquelle ses sauveteurs sont entrés. Il faudra la sortir par la cave voisine. Elle a une jambe cassée.
Emile Nélis, horloger-bijoutier (Waremme)
En 1934, l’horloger-bijoutier NELIS Emile achète un bâtiment rue Joseph Wauters à Waremme et le loue à HEYNE Léon, qui y ouvrira le café « Aux Sports ».
Ce dernier habitera le bâtiment avec sa femme MOUREAU Jeanne et ses beaux-parents, GLADE Joseph, dit « Paille », retraité du Chemin de Fer, et MOUREAU Thérèse, dite « Mamme Tîne ».
Un centre d’accueil pour réfugiés (Waremme)
En juin 1940, des volontaires mettent en place, au collège Saint-Louis de Waremme, un bureau de renseignements et un centre d’accueil pour les réfugiés qui reviennent de France.
Le magasin « Baromédic » (Waremme)
En novembre 2015, BARBE Stéphanie et RODRIGUEZ Gary ouvrent le magasin « Baromédic », spécialisé dans la vente de matérie médical, au n° 11 de la rue Charles Lejeune à Waremme.
L’établissement est destiné aux médecins, kinés, infirmières, mais aussi aux particuliers.
Le garage Constant de Waremme
En janvier 2015, la société « Constant » ouvre un garage Fiat, Alfa Romeo, Jeep, Chrysler et Dodge, au n° 17 de la rue du Casino à Waremme.
La société exploite déjà un garage en bordure de l’autoroute, à Ans.
L’administrateur-délégué de la société est SCHYNS Eric. Le responsable du garage de Waremme est HAVARD Grégory.