Le 1er avril 1785, DEBOUNY Valentin voit le jour à Waremme. Ses parents sont DEBOUNY Balthazar et LHOEST (LHOIST ?) Marie-Catherine qui se sont mariés à Waremme le 1er mars 1778). Il sera ouvrier.
Le 1er mars 1807 (en l’An XIV), LISMONTE Jean-Jacques, ouvrier à Waremme, conscrit, doit être incorporé comme fusilier au 63ème Régiment d’Infanterie de Ligne, mais il s’enfuit en cours de route.
En 1958, BARTHOLOME Jean-Baptiste décède à (?), à l’âge de 92 ans. Il était natif de Hollogne-sur-Geer. Il a été un des premiers livreurs de la Coopérative « La Justice » de Waremme. Il a commencé ses tournées avec une petite charrette tirée par un chien, puis les a poursuivies avec un « camion » tiré par un cheval (à l’origine, un ouvrier précédait le véhicule et agitait une clochette pour annoncer son passage).
Vers 1914 (?), JOIRKIN Joseph travaille pour le brasseur DELVIGNE de Waremme.
(Après la Première Guerre Mondiale, il restera au service de RENIER Fernand, qui reprendra la brasserie).
Vers 1920, l’ouvrier au chemin de fer WARNANT F. habite rue Couchoul (qui deviendra plus tard la rue Hubert Krains) à Waremme, près de la fabrique de cigarettes de GILET Ferdinand.
En 1943, le cultivateur LIBIOUL Joseph, de la rue de Saint-Trond à Oreye, et son ouvrier DEGREEF Hubert, déterrent un mégalithe dans la campagne d’Oreye, au lieu-dit « Bonneville ».
C’est une pierre en grès, haute de 1m70, large de 1m20 à sa base se retrécissant dans sa partie supérieure, d’une épaisseur de 25 à 30 centimètres. Son sommet est percé d’un trou.
Il s’agit d’un poteau indicateur place par les Celtes, au 5ème ou 6ème siècle ACN, pour indiquer une direction.
Cette pierre sera détruite, par ignorance ou manque d’intérêt.
En 1874, CLAES Robert voit le jour à (?). Il épousera VANSEIMPSEN Cornélie. Il sera ouvrier à la sucrerie d’Oreye.
Le 16 décembre 1907, CLAES Léopold voit le jour à Oreye. Ses parents sont CLAES Robert (ouvrier à la sucrerie) et VANSIMPSEN Cornélie. Il épousera LEMME Florentine de Hodeige. Il sera ardoisier à Oreye.
En 1915, HANNOSSET Marcel est ouvrier d’usine à Bergilers.
En décembre 1915, le comité de chômage de Bergilers est composé de: