En 1970, la répartition socio-professionnelle des habitants de Waremme:
- Employés: 37,1%
- Ouvriers: 32,7%
- Cadres et professions libérales: 17,7%
- Indépendants et employeurs: 11%
En 1970, la répartition socio-professionnelle des habitants de Waremme:
Après 1900, l’exploitation de gisements de phosphate, dans la région de Momalle, permet une augmentation des revenus de la classe ouvrière locale.
En 1905, une ferme de la commune de Berloz se présente comme suit:
Etendue de l’exploitation
Personnel familial
Personnel ouvrier
Domesticité
En 1763, COLAR Antoine est menuisier à Waremme. Il a deux ouvriers. Son épouse est LEONARD Jeanne-Ida.
En 1763, MONJOIE Guillaume est menuisier à Waremme. Il a 2 ouvriers. Son épouse est LISMONDE Anne-Marie, travaillante à journée.
En 1763, HENNIN François est menuisier à Waremme. Il a 3 ouvriers. Son épouse est LOUVISSE Catherine-Joseph, couturière. Elle a 2 ouvrières.
Ils habitent avec:
En 1896, la râperie de Viemme utilise 112 personnes, à la saison des betteraves.
En 1918, les Allemands déportent à Waremme des ouvriers et employés spadois des chemins de fer vicinaux ont décidé de cesser le travail. Ils disposent d’un immeuble, rue de Sélys-Longchamps, à côté de la Siroperie LAMBERT. Cet immeuble est appelé « L’Auberge Spadoise ».
Avant 1920, GILET Ferdinand installe une petite manufacture de tabac, rue Cochoul (qui s’appellera plus tard rue Hubert Krains) à Waremme. Il emploiera 7 à 8 personnes, dont:
En 1927, le guichet de la gare de chemin de fer de Remicourt distribue 31.716 abonnements d’ouvriers.