Ecole à Hollogne-sur-Geer

Le 11 avril 1825, les administrations communales de Hollogne-sur-Geer, Grand-Axhe et Omal, réunies en séance extraordinaire, décident d’établir une école primaire à Hollogne-sur-Geer, pour le service des 3 communes.

Chacune d’elles participera au traitement de l’instituteur:

  • Hollogne-sur-Geer versera annuellement 50 florins (+ 10 florins du Bureau de Bienfaisance)
  • Grand-Axhe versera annuellement 25 frorins (+10 florins du Bureau de Bienfaisance)
  • Omal versera annuellement 5 florins du Bureau de Bienfaisance

Hollogne-sur-Geer fera construire l’école et le logement de l’instituteur.

La Maison Communale (Geer)

En mai 1988, la Maison Communale de Geer occupe l’ancienne « Cense de la Dîme » de Seigneurs de Flône. (Les fermiers de l’endroit y amenaient des gerbes de céréales -« tierces gerbes » et « gerbes de la dîme » – , pour s’acquitter de leurs fermages)

Démontage de voies (Waremme)

En 1952, les voies de la ligne vicinale « Waremme – Statte » sont démontées, à l’exception du tronçon « Waremme – Hollogne-sur-Geer » (à la demande de la Sucrerie NAVEAU, qui payera même la locomotive)

Aineffe souscrit au Vicinal

Le 20 mai 1887, la commune d’Aineffe souscrit, 17 actions de 1.000 francs, du Chemin de Fer Vicinal de Huy à Waremme, payables en 90 ans par annuité de 595 francs (intérêts et amortissement compris) prélevée prioritairement sur les dividendes octroyés annuellement à la commune. Si les dividendes ne suffisent pas, la caisse communale devra verser la différence. 

Le bourgmestre de la commune est le Baron D’OTREPPE DE BOUVETTE.

L’Union Latine (Belgique – France – Italie – Suisse)

En 1865, la Belgique entre dans « l’Union Latine » avec la France, l’Italie et la Suisse. Chaque pays accepte en paiement les pièces en argent et en or des autres pays.

Henri de Slins condamné (Oreye)

Le 10 février 1517, la cour de justice d’Oreye prononce une saisine contre DE SLINS Henri, compteur de Saint-Christoque (Saint-Christophe ?), pour faute de paiement de relief et d’amende.

La cour est composée de:

  • D’OREYE Jehan, mayeur
  • DE THIS Rigal, échevin
  • MELOT Jehan, échevin
  • D’OREYE Pirlet, échevin
  • DE HOUTEN Gilles, échevin
  • HANOSSET Wilhem, échevin

Un château à Oreye

En mars 1261, le chevalier DE MONFERANT Adan, Seigneur d’Oreye, et son épouse D’OREYE Elisabeth prennent en location, à perpétuité, 6 bonniers de terres , près de Tis (Thys ?), auprès de l’abbé de Saint-Trond, contre une rente annuelle de 26 muids d’épeautre. Ils ne pourront vendre ce bien sans le consentement de l’abbaye (Leurs successeurs payeront cette rente jusqu’à la Révolution française et l’abolition du régime féodal).

Sur ces terres, ils construiront un château féodal. Cet édifice comprendra une cour haute et une cour basse, flanquées de 4 tours carrées situées à chacune des extrémités. Une maison seigneuriale et un quartier des serviteurs et domestiques y seront adjoints. Des écuries et des étables complèteront l’ensemble. Une seule entrée permettra l’accès à ce château. Elle sera surmontée d’un donjon, précédé par un pont-levis. Des étangs, alimentés par le Geer, entoureront cet ensemble.

Des paysans d’Oreye

En 1612, pour exploiter une terre à Oreye, des paysans versent un loyer à l’abbaye de Saint-Trond:

  • BOTTI Gérard, 4 setiers de seigle
  • BOTTI Martin, 13 setiers de seigle (pour 2 bonniers)
  • LE MARCHAND Jean, 10,5 muids et 6 setiers de seigle

Jean Fossis, agriculteur (Oreye)

En 1610, FOSSIS Jean verse un loyer de 18,5 setiers d’épeautre à l’abbaye de Saint-Trond, pour exploiter une terre à Oreye.

Grusin Streignard, agriculteur (Oreye)

En 1604, STREIGNARD Grusin verse un loyer de 18 setiers d’épeautre à l’abbaye de Saint-Trond, pour exploiter une terre à Oreye.