Les péages sur les routes (Belgique)

En 1831, le Congrès National décide de conserver les droits de barrières (péages) sur les routes nationales et provinciales,, et d’en consacrer les revenus à l’entretien et à l’amélioration du réseau routier dans son ensemble.

En général, les barrières sont disposées tous les 5 kilomètres. Elles sont affermées individuellement à des personnes privées, désignées par le biais d’une adjudication publique. Moyennant le paiement d’un montant convenu, le preneur peut exploiter une barrière déterminée.

Le Baron à la Société Royale Agricole (Waremme – Liège)

Le 10 mai 1885, le Baron DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond, de Waremme, paie sa cotisation annuelle à la Société Royale Agricole de l’Est de la Belgique, Section Hesbaye – Waremme. Le montant de la cotisation est de 5 francs.

Les bureaux de cette société sont situés au n° 27 de la Place du Théâtre, à Liège.

Premières mesures de Guillaume Joachim (Waremme)

En septembre 1914, dès son entrée en fonction, le bourgmestre « ad interim » de Waremme, JOACHIM Guillaume, fera adopter par le conseil communal, une série de mesures destinées à assister ses administrés, notamment:

  • affectation, pour un salaire de 2 francs par journée de 8 heures, de 200 ouvriers sans ressources, aux travaux de réfection des chemins;
  • vote d’emprunts, à la Société du Crédit Communal, des sommes nécessaires au paiement des employés communaux et à la rémunération des femmes de soldats;
  • octroi de subsides au Bureau de Bienfaisance;
  • octroi de secours aux chômeurs involontaires;
  • instauration du Comité de Secours et d’Alimentation.

Action en justice du maçon Kinet (Remicourt)

En mai 1833, le maître maçon KINET intente une action en justice contre le bourgmestre et les assesseurs de Remicourt, aux fins d’obtenir le paiement d’une somme de 227,28 florins, qui lui reste due sur les travaux de reconstruction du presbytère du village.

Les « tailles » de Lantremange

En 1752, DUME François remarque que le village de Lantremange ne paie plus les tailles au Pays de Stavelot, mais à celui de Liège.

La Principauté ardennaise ne possède pas de force armée capable de défendre ses droits contre ses voisins.

Baudouin 1er de Jeneffe veut réparer ses torts (Waremme)

En 1248, le châtelain de Waremme, DE JENEFFE Baudouin 1er, tombe malade et assigne 150 bonniers de terre à ses exécuteurs testamentaires pour payer ses dettes et réparer les injustices qu’il a commises durant sa vie.

Testament de Baudouin 1er de Jeneffe (Waremme)

En 1248, quelque temps après le décès du premier châtelain de Waremme, DE JENEFFE Baudouin, ses exécuteurs testamentaires vendent 45 bonniers de terre situés sur le territoire de Jeneffe (entre Limont, Rolloux, Haneffe et Momalle), aux abbayes d’Aulne et de Soleilmont (Lobbes ?), dans le respect des volontés du défunt de payer ses dettes et de réparer ses torts.

Cette transaction se fait avec l’accord de sa veuve, DE MONTFERRANT Ermentrude, de son fils DE JENEFFE Guillaume et de ses frères, DE LIMONT Robin et D’OREYE DE JENEFFE Arnould.

Beaudouin 1er de Jeneffe, malade (Waremme)

En 1248, le châtelain de Waremme, DE JENEFFE Baudouin tombe malade. Il prend des mesures, avec le consentement de sa femme et de ses enfants, pour qu’on puisse payer ses dettes et réparer ses torts, après sa mort.

C’est ainsi, qu’au mois d’avril 1248, il assigne 150 bonniers de sa terre de Jeneffe pour servir à dédommager ceux envers qui il a commis des injustices . En attendant la vente de ces terres, leur produit doit être employé aux dites restitutions.

Conflit entre Collon et le notaire Lejeune (Waremme)

En décembre 1840, COLLON Anne-Marie n’ayant pas payé pendant 2 ans les fermages dus pour la location d’un terrain, le notaire LEJEUNE de Waremme entame des poursuites à son égard.

Henri Monjoie payera Doyen (Waremme – Liège)

henri monjoie

henri monjoie

Le 9 novembre 1962, le bourgmestre faisant-fonction de Waremme, MONJOIE Henri, déclare qu’il est temps que l' »affaire Doyen » se termine et demande au conseil communal de consentir un emprunt sur 20 ans pour payer la somme de 934.349 francs fixée par la Cour d’Appel de Liège en juin 1962, bien inférieure à celle de 5.510.262 francs qui avaient été initialement établie en 1950.