Jean Pagnard, couvreur (Fize-le-Marsal)

Vers 1790, PAGNARD Jean est couvreur en paille (poseur de chaume sur le toit des habitations et des granges) à Fizele-Marsal.

Les Volailles de Berloz

En mars 2014, l’élevage « Les Volailles de Berloz » est installé au n° 31 de la rue de Waremme à Berloz:

  • Poulets
  • Poulettes prêtes à pondre
  • Dindes, pintades, oies, canards
  • Poussins
  • Aliments pour volailles, lapins, moutons, chevaux, chiens, chats
  • Copeaux
  • Paille et foin
  • Matériel pour volailles et lapins

Hodeige doit moudre son grain à Lens

Le 23 mars 1368, il n’y a pas de moulin banal à Hodeige. Un acte de la Cour de Justice de Hodeige déclare que les manants et habitants du village doivent aller moudre leur grain au moulin de Lens-sur-Geer, appartenant au Chapitre Saint-Denis de Liège.

Le Chapitre de Saint-Denis, en tant que Seigneur de Hodeige, déclare par un acte que les habitants de cette localité sont tenus de faire moudre leurs grains au moulin banal de Lens-sur-Geer. Le lendemain, LE BLAVIER Henri et BREIBECHON Pierre, chanoines de Saint-Denis, donneront lecture du document à la communauté de Hodeige, assemblée en place publique au son de la cloche, et lui demanderont si elle le ratifie (ce qu’elle fera).

Cet acte prévoit que:

  • Les manants de Hodeige sont obligés de moudre leurs grains au moulin de Lens, à l’exception des prêtres, des clercs, des chevaliers, des enfants, des veuves ou des dames de chevaliers, à raison du trentième (c-a-d qu’il sera laissé au meunier pour son salaire un muid sur 30 muids, un setier sur 30 setiers, un dozin sur 30 dozins, une quarte sur 30 quartes).
  • Le meunier doit avoir comme salaire, pour aller prendre le grain et ramener la farine à domicile, une quarte de farine sur 10 setiers de farine.
  • Le meunier est tenu d’aller chercher le grain de tout manant de Hodeige, à une lieue à la ronde et cela à toute réquisition. Si au bout de 3 jours il ne s’est pas exécuté, les manants peuvent et doivent faire moudre leur grain ailleurs.
  • Le meunier est obligé de rendre aux manants les 2/3 des poufrins (son ?) et de la paille; l’autre tiers sera pour lui.
  • S’il arrive aux manants de perdre quelque chose par la négligence du meunier ou de ses valets, ils peuvent faire arrêter les chevaux du dit meunier et réclamer la réparation du préjudice souffert.
  • Quand les manants ont averti le meunier de venir chercher leur blé pour le moudre et que celui-ci refuse, ils peuvent, 3 jours après l’avertissement, sans scrupule, s’adresser ailleurs.
  • Le meunier doit aller chercher, moudre et ramener les brassins des brasseurs de Hodeige; il aura pour chaque muid 2 quartes de cervoise.
  • S’il arrive que le moulin ne soit pas en bon état, comme l’exigent les ordonnances mises en garde par les échevins de Lens-sur-Geer, les manants de Hodeige doivent faire leur réclamation à leur mayeur, qui en avisera celui de Lens-sur-Geer. Ce dernier devra alors, avec les échevins, visiter et faire remettre le moulin en bon état. Dans le cas où l’on ne ferait pas droit aux réclamations des habitants, ceux-ci peuvent, 3 jours après l’avertissement, faire moudre leurs grains ailleurs, et cela aussi longtemps que le moulin ne sera pas remis en bon point.
  • Les manants doivent moudre leurs grains après ceux qu’ils trouveront au moulin à leur arrivée. Toutefois, les manants de Lens-sur-Geer ne peuvent être retardés par ceux de Hodeige.
  • Si les seigneurs de Saint-Denis échangent ou vendent à un autre seigneur leur ville de Hodeige, les manants de ce village ne seront plus tenus de moudre leurs grains au moulin banal de Lens-sur-Geer.
  • Si, à l’avenir, l’un ou l’autre manant de Hodeige se montre négligent à faire moudre son grain au dit moulin, ou s’il enfreint les articles du règlement ci-dessus, il sera passible d’une amende de 7 sous de bonne monnaie envers le Doyen et le Chapitre de Saint-Denis ou, en leur nom, envers le mayeur, et cela autant de fois qu’il serait en défaut.

Des Français au cabaret Petitjean (Remicourt)

En (?), durant la Première Guerre Mondiale, le cabaret PETITJEAN, à Remicourt, accueille des soldats français. Ils y couchent sur de la paille, ce qui pose un sérieux problème d’hygiène.

De la paille pour les soldats (Crisnée – Fize-le-Marsal)

Le 9 février 1793, COLLINET, de Crisnée, livre 14 bottes de paille aux Français, cantonnés à Fize-le-Marsal.

Crisnée en 1830

En 1830, il y a 336 habitants et 64 demeures à Crisnée:

  • fermes: 9 (dont 4 grandes)
  • maisons particulières: 10
  • habitations rurales: 20
  • cabanes: 25 (elles sont construites en bois et en argile, recouvertes de paille)

Réparation de l’école (Celles)

Le 1er décembre 1827, le Conseil Municipal de Celles décide de remplacer (réparer ?) le toit en paille de l’école. Le coût des travaux est estimé à 3.864 florins.