Ouverture de la sandwicherie Lili (Waremme)

Le 12 novembre 2024, MESSIAEN Lindsay ouvre la sandwicherie « Lili » au n° 19 de la rue du Casino à Waremme (en face du Centre Scolaire Libre de Waremme – ancien Institut Saint-Laurent, et à deux pas de l’Athénée Royal). Elle propose une trentaine de variétés de sandwiches. Elle cuit ses pains elle-même. Elle offre un service de livraison à domicile (à partir de 3 sandwiches).

Elle est âgée de 32 ans et est installée à Waremme depuis 13 ans. Elle a travaillé 10 ans dans diverses sandwicheries (dont le Point Chaud de Waremme) avant de se lancer à son compte.

La population de Thys

En 1683, 42 ménages de Thys (dont 9 en Brouck et 3 à Nomerenge) paient au curé la redevance de 2 pains.

Le marguillier de Grand-Axhe

Vers 1710, le marguillier de Grand-Axhe a droit à 3 pains de chaque famille du village, à 3 setiers d’avoine de chaque agriculteur et 1 setier des autres.

Le curé de Grand-Axhe

Vers 1710 (?), le curé de Grand-Axhe perçoit les petites dîmes du village, soit 3 pains par famille. Il reçoit également 7 oeufs de chaque communiant. Pour un bénéfice fondé à Saives, il reçoit environ 25 muids.

Renier, fabricant de pain (Waremme)

En 1944, Monsieur RENIER confectionne des pains et de la pâtisserie dans son atelier de la rue du Pont, à Waremme. Ils sont vendus à la boulangerie de ses belles-soeurs, MATHOT Honorine et MATHOT Marie-Louise.

Il est le père de RENIER Jules, futur médecin, et de RENIER Hélène.

La Coopérative « La Justice » fait construire un bâtiment à Waremme

En 1902, la Coopérative « La Justice » fait construire un grand complexe rue Gustave Renier, à Waremme.

Ce complexe (situé au n° 70 actuel), comprend un magasin à céréales et des bureaux.

Le magasin à céréales se prolonge par une boulangerie industrielle, dont les deux grands fours ont une capacité de 200 pâtons chacun. Les pains cuits sont chargés sur de hauts chariots de bois, pour les amener dans un local voisin, au fond de la cour. C’est là que viennent s’approvisionner les camions tirés par des chevaux, pour aller livrer la marchandise dans les villages.

De l’autre côté de la cour se trouve un dépôt de charbon, alimenté par un raccordement au chemin de fer. On y charge le charbon à livrer à domicile, mais les particuliers peuvent également venir s’y approvisionner par petites quantités.