Le 1er mai 1944, un parachutage est effectué dans la région de Waremme. Le code de l’opération, sur la BBC, est: « Le choux n’a pas une odeur effroyable ». Les fournitures sont cachées sous des tas de marne par la Résistance.
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Des armes dans la chapelle (Saives)
En mars 1944, des Résistants du Groupe Otarie cachent des armes, parachutées par les Alliés, dans la chapelle « Saint-Blaise » de Saives.
La maison de Camille Marchandise (Borlez)
Vers 1942, MARCHANDISE Camille, de Borlez, loue une maison vide à la Résistance. Elle sert de dépôt pour les fournitures parachutées par les Alliés.
Parachutage sur la « Plaine Betterave » (Celles)
Le 17 septembre 1944, un dernier et gigantesque parachutage est effectué, de jour, sur la « Plaine Betterave », entre Celles et Les Waleffes. Des centaines de corolles blanches descendent lentement sous les yeux ébahis des curieux. Les Résistants du Groupe « Otarie » récupèrent les 420 conteneurs remplis de mitraillettes Sten, de carabines, de fusils-mitrailleurs Bren, d’armes anti-char, de bazookas, de bombes de grenades et de munitions.
Comité de réception (Hodeige)
En mai 1944, le commandant MAERTENS, assisté de l’adjudant PAULET, dirige le comité de réception des parachutages d’armes, à Hodeige.
Parachutage sur la Plaine Betterave (Faimes)
Le 4 mars 1944, un Lancaster parachute 15 conteneurs d’armes et de matériel sur la Plaine « Betterave », à Faimes. Les colis sont récupérés par les Résistants. Ils les chargent sur un camion et les transportent dans une vieille maison inoccupée, à Berloz.
Albert Pauly à Bruxelles (Hesbaye – Belgique)
En avril 1944, le Hesbignon PAULY Albert, membre du « Special Air Service » (SAS), est parachuté près de Bruxelles. Il vivra dans une stricte clandestinité et exercera l’activité de « marconiste » (télégraphiste).