La ferme en carré de Hollogne-sur-Geer

En 1981, la vaste ferme en carré de Hollogne-sur-Geer rassemble autour d’une cour pavée des bâtiments de briques, couverts de tuiles pour la plupart.

Au Nord, un portail en anse à panier, harpé et doublé d’un rouleau de briques et surmonté d’une bâtière, abrite un pigeonnier.

Côté cour, de part et d’autre du porche, un poulailler et un bureau destiné à la comptabilité de la ferme se placent maintenant dans les logettes ouvertes par des arcs semblables à celui du porche, mais d’un niveau de moindre hauteur.

Face à l’entrée, un imposant logis à double corps de deux niveaux et demi et cinq travées, à l’allure d’une maison bourgeoise. Il donne sur l’arrière vers un vaste parc. De grandes fenêtres rectangulaires à linteau droit et encadrement de pierre de taille (type que l’on trouve pour tout l’ensemble) éclairent le logis.

Jouxtant l’habitation, à gauche, la partie réservée aux domestiques empiète partiellement sur la grange en double large qui forme le côté du quadrilatère.

A droite se trouve une sellerie qui communique avec l’écurie réservée aux chevaux de selle et avec la remise des voitures.

Dans le reste des bâtiments, sont réparties des étables et des écuries couvertes de voûtes de brique reposant sur des colonnes de pierre bleue ou de voussettes sur colonnes de fonte.

Un puits surmonté d’une pompe existe encore à proximité de la remise à voitures.

Enfin, à l’extérieur du quadrilatère, de chaque côté du porche, se greffent de doubles étables construites au milieu du 20ème siècle et prolongées par un mur de briques délimitant un passage charretier qui conduit au porche d’entrée.

Le château devient hôtel et salle de réception (Limont)

En 1993, l’ancien château de Limont et la ferme y attenante, rachetés par la S.A. « Espace Plantain » dans les années 80, ont été restaurés et aménagés de façon magistrale pour un montant de 163 millions de francs. Ils sont devenus un hôtel de grand luxe, un restaurant raffiné et une infrastructure pour séminaires, réceptions et banquets.

Dans le parc subsiste une ancienne glacière. Le plan d’eau, alimenté par l’Yerne, a été recreusé. La tour est la reproduction d’une tour mauresque, dont les anciens châtelains seraient tombés amoureux lors d’un voyage en Espagne. Autrefois pavillon de chasse, elle a été aménagée en club-house.

Construction d’un nouveau château (Berloz)

Au 18ème siècle, un nouveau château est construit à Berloz, à l’emplacement (?) de l’ancienne maison-forte des Seigneurs de Berloz, dont il ne subsiste aucun vestige. La ferme qui le jouxte fait partie du domaine. Un parc, agrémenté d’un étang est séparé du château par un simple passage (qui deviendra plus tard une route).

Auguste Mercier blessé (Oreye)

En 1944, au retour d’une visite à Widooie, le vétérinaire d’Oreye, MERCIER Auguste-Xavier-Arnold-Théodore, est renversé par un camion américain. Les militaires lui découvrent de multiples fractures, dont le fémur, le péroné, la rotule, l’avant-bras et l’orbite. Ils le transportent à l’hôpital de campagne américain, installé dans une prairie proche du parc du château d’Otrange.

Plaine Multi-Sports (Remicourt)

Le 8 octobre 1997, le conseil communal de Remicourt décide d’aménager une plaine multi-sports dans le parc « Joseph Charlier ». Les travaux seront réalisés en 2001.

La propriété Mélotte (Remicourt)

Le 21 septembre 1980, la commune de Remicourt décide d’acheter l’ancienne propriété MELOTTE, pour un montant de 6.000.000 francs (et d’y réaliser le Parc « Joseph Charlier » ?).

Mort de Henry de Menten de Horne (Vieux-Waleffe)

En 1988, DE MENTEN DE HORNE Henry décède à (?). Il a été cavalier de saut d’obstacles et a participé aux Jeux Olympiques de 1936. Il a obtenu le trophée national du Mérite Sportif. Il a été secrétaire général de la Fédération Equestre Internationale. Il sera inhumé dans la chapelle privée du parc du château de Vieux-Waleffe, situé rue de Fallais.

Henri Gérard s’oppose aux Allemands (Remicourt)

En septembre 1914, l’ancien bourgmestre de Remicourt, GERARD Henri, est menacé d’exécution par les Allemands car il a refusé d’obtempérer à l’ordre de réquisition de ses chevaux. Il sera attaché, toute une journée, aux grilles du parc de sa ferme. La menace ne sera pas suivie des faits.

Il est le père de GERARD Charles.

Maximilien Dutilleux, juge de Paix (Waremme)

En 1906, DUTILLEUX Maximilien est le juge de Paix de Waremme. Il habite rue de Saive (qui deviendra plus tard la rue de Huy), non loin du viaduc du chemin de fer. Il y possède une maison entourée d’un parc boisé.

Aménagements au château (Les Waleffes)

En 1860, un parc à l’anglaise et un pavillon chinois en bois, sur un haut soubassement en briques et calcaire, sont réalisés au château de Waleffe-Saint-Pierre.