En février 1977, la S.A. « BEAUDUIN et Industrie Agricole » de Waremme a une activité principale de production d’engrais. Elle le vend en sac ou en vrac. Elle peut également épandre elle-même l’engrais directement sur les parcelles des clients. Elle vend également des semences de céréales et des aliments pour animaux. Elle possède 5 camions, un tracteur et 3 épandeurs. Elle occupe 29 personnes à temps plein.
En décembre (?) 2024, HERMAN Marine et KLEYNSTENS Loïs installent un poulailler mobile, pouvant accueillir 400 poules, montés sur roues, à Lens-Saint-Servais (Geer). Ils peuvent ainsi le déplacer de parcelles en parcelles, pour que les poules puissent bénéficier d’herbe fraîche.
En décembre (?) 2024, la commune de Waremme signe le compromis d’acquisition de 5 parcelles situées, en bordure du Geer, derrière l’église Saint-Pierre et le vicariat, pour un montant de 565,788 euros. Les propriétaires historiques de ces biens sont la « Fabrique de l’église Saint-Pierre » et « l’Association des Œuvres Paroissiales du Doyenné de Hesbaye ».
Cette acquisition entre dans le cadre de la création d’un parc public, intégrant le Geer et une passerelle pour le traverser. En plus d’aménager un poumon vert dans la ville, ce projet devrait permettre de rejoindre plusieurs zones de Waremme par une voie douce.
En 1831, quelques personnes achètent des parcelles de terrain rue des Remparts à Waremme, notamment:
En 2011, LE MAIRE Pierre est agriculteur « Bio ». Il possède des parcelles à Verlaine.
En 1994, au cours du temps, le tumulus de Hodeige a progressivement été raboté par les travaux agricoles. Ses bords sont parfaitement alignés sur les limites cadastrales des parcelles.
A partir de 1235, à Geer, les parcelles de terres appartenant à l’abbaye de Flône ne sont plus cultivées par des serfs, mais par des masuriers.
Le 5 septembre 1807, la Loi des Finances de l’Empire impose un registre cadastral pour l’ensemble des parcelles de Hesbaye.
En décembre 1847, le notaire de Waremme, LEJEUNE Jules, acquiert plusieurs parcelles du chemin de fer à Borlo et Goyer, pour le Baron DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond.
Vers 1980, le remembrement agricole sonne le glas pour toutes les petites exploitations qui n’ont pas les surfaces cultivables indispensables pour investir dans du matériel performant.
Ce remembrement a pour effet l’aménagement du territoire en parcelles de terrain moins nombreuses, mais plus grandes et d’un accès plus facile. Il nécessite la création de nouvelles voiries pour desservir les nouveaux lots: les chemins de remembrement.