Le Grand Maître des Templiers sur le bûcher (France)

jacques de Molay

jacques de Molay

Le 19 mars 1314, le 23ème et dernier Grand Maître des Templiers, DE MOLAY Jacques, est exécuté pour hérésie devant Notre-Dame de Paris.

Construction de la « Sainte-Chapelle » (France)

En 1242, les travaux de construction de la Sainte-Chapelle » sont entrepris sur l’Île de la Cité à Paris. Ils se termineront en 1248.

Saint-Louis achète la couronne d’épines du Christ (France – Constantinople)

roi louis ix de france dit saint-louis

roi louis ix de france dit saint-louis

Le 11 août 1239, le Roi de France LOUIS IX, qui deviendra SAINT-LOUIS, achète la couronne d’épines du Christ à l’Empereur Latin de Constantinople, BAUDOUIN II, pour la somme astronomique de 135.000 livres.

Désireux de lui offrir un reliquaire prestigieux, il décide de faire construire la « Sainte-Chapelle » à Paris.

Les De Sélys-Longchamps s’installent définitivement à Waremme

Le 2 décembre 1836, D’ARAN DES CASLANS Denise-Jacqueline, grand-mère maternelle de DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond, décède à Paris.

A partir de ce moment, la famille DE SELYS-LONGCHAMPS vient s’installer définitivement au domaine de Longchamps à Waremme.

Le professeur de latin de Michel-Edmond, Monsieur HOFFMANN, avocat à Paris, consent à accompagner son jeune élève, afin de poursuivre son enseignement. Jamais Michel-Edmond, ne suivra les cours d’un collège ou d’une université.

Michel-Edmond de Sélys-Longchamps séjourne à Waremme

En 1816, DE SELYS-EDMOND Michel-Edmond, qui vit avec sa mère à Paris, rencontre pour la première fois son père DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Laurent, à l’occasion de son premier séjour au domaine de Longchamps à Waremme. Il est âgé de 3 ans.

Nécrologie de Michel-Laurent de Sélys-Longchamps du 26 avril 1837

« …  DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Laurent, né à Liège en 1750, est décédé hier, à 9 h et demie du soir. Homme de progrès et défenseur zélé des libertés publiques, il s’associa dès le principe, aux grands travaux, qui entrepris sur le sol français, devaient amener la rénovation sociale d’une grande partie de l’Europe. A l’arrivée de DUMOURIEZ à Liège en 1793, il fut un des membres de la Convention liégeoise. Bientôt la retraite des Français le fit s’exiler de sa Patrie et il ne pût y rentrer que lorsqu’ils reparurent une seconde fois en Belgique le 27 juillet 1794. Dès cette époque, Monsieur DE SELYS-LONGCHAMPS fut successivement, membre de l’administration du Pays de Liège, délégué de cette administration pour organiser le canton de Saint-Trond. En 1795, il fut envoyé à Bruxelles où siégeait l’administration centrale des 9 départements réunis et obtint ensuite la présidence de la Municipalité de Liège.

De 1801 à 1807, il siégea au Corps Législatif français. Il faisait partie de cette honorable minorité, qui combattit pied-à-pied les envahisseurs de BONAPARTE. Il vota contre l’extension du Consulat à vie.

A Paris, Monsieur DE SELYS-LONGCHAMPS n’oubliait pas les intérêts de son pays. Les départements de l’Ourthe, de Meuse inférieure et de Roer furent frappés en 1814 d’une contribution de 6 millions. Monsieur DE SELYS-LONGCHAMPS fut chargé, avec deux de ses collègues, de porter à Aix-la-Chapelle les réclamations que faisaient naturellement surgir cet acte de conquête.

Mais la plus belle partie de la carrière politique de Monsieur DE SELYS-LONGCHAMPS est, sans contredit, celle qui s’est écoulée sous la domination de la Hollande. La réaction qui se fit sentir dès que GUILLAUME eut pris les rênes de notre gouvernement, trouva en lui un adversaire chaleureux. Soit dans le sein des Etats Provinciaux de Liège, où il se trouvait en 1810, il ne cessa de s’élever contre la tendance arbitraire que le prince néerlandais voulait imprimer à toutes nos institutions. GUILLAUME créa un corps de privilégiés, connu sous la dénomination impopulaire « d’Ordre Equestre ». Né noble, le Baron DE SELYS-LONGCHAMPS pouvait y aspirer. Il le dédaigna. La noble et simple inscription de citoyen de campagne sur les listes civiques, lui parût plus flatteuse, plus digne de son caractère, que la pompe d’un titre, dont la grande révolution avait montré la vanité et le néant.

Son grand âge ne l’éloigna pas des affaires publiques. La révolution de 1830 le retrouva jeune encore. Il fut nommé membre de la commission consultative près de la régence de Liège.

Lorsque le district de Waremme l’envoya au Congrès National belge pour assister à notre émancipation politique, la protéger de son autorité et de son expérience, il vota toutes les mesures importantes qui fondèrent notre indépendance: l’exclusion de Nassau, la Constitution belge, …

Cependant, à peine la Belgique avait-elle appelé sur son trône le Roi LEOPOLD 1er, qu’elle se laissa aller au gré des exigences diplomatiques. Dès lors, on vit disparaître du gouvernement cette franche énergie du vrai patriotisme, pour se réfugier dans les rangs d’une minorité courageuse, dont Monsieur DE SELYS-LONGCHAMPS faisait partie, jusqu’au moment où il crut, à propos, au déclin de ses jours, de s’éloigner du théâtre des affaires politiques … »

Le Prince-Evêque de Liège récupère son trône

Le 21 avril 1793, le Prince-Evêque de Liège DE MEAN reprend possession de son trône épiscopal, suite à l’évacuation des Français.

Les conseillers de la municipalité de Liège sont bannis. DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Laurent se réfugie à Paris.

Le premier journal télévisé « belge »

Le 4 novembre 1956, à 20 heures, le premier journal télévisé belge est diffusé par l’INR. Il est présenté par STEPHANE Robert et dure environ 9 minutes.

Avant cette date, les informations étaient relayées depuis Paris sur la chaîne belge.

Olympe de Gouges est décapitée (France)

Olympe de Gouges

Le 3 novembre 1793, DE GOUGES Olympe, qui a rédigé la « Déclaration des Droits de la Femme et de la Citoyenne », est guillotinée à Paris.