Vers 1595, l’abbé GILOTTIN Amel, desserviteur de la paroisse de Hodeige, reçoit un coup de poignard d’un de ses paroissiens, pour avoir déposé contre lui devant l’Archidiacre, lors de sa visite archidiaconale.
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Hodeige doit contribuer aux travaux de Lamine
En 1728, selon les clauses de l’acte de séparation des paroisses de Lamine et de Hodeige, les paroissiens de Hodeige sont contraints de contribuer à la réfection de la tour de Lamine.
Monument à Notre-Dame de Banneux (Remicourt)
Vers 1952 (?), le Conseil de la Fabrique d’Eglise de Remicourt, à la demande d’un groupe de paroissiens, fait ériger un monument à Notre-Dame de Banneux. C’est l’architecte RADOUX Georges qui en adressé les plans. Ce sont les paroissiens demandeurs qui règleront les factures.
Joseph Sevrin, curé (Remicourt)
En 1968, l’abbé SEVRIN Joseph est nommé curé à Remicourt. Il remplace l’abbé NAVEAU, dont les idées originales ont divisé les paroissiens, forçant l’évêché à l’affecter à une autre mission.
De nouveaux vitraux pour l’église (Remicourt)
Du 18 au 21 mars 1914, trois vitraux sont installés dans le chœur de l’église de Remicourt. Chaque vitrail illustre quatre scènes:
- Celui du milieu illustre la vie de Jésus: naissance / atelier de Nazareth / Jésus mourant sur la croix / Jésus glorifié
- Celui de droite, le Sacré-Coeur de Jésus: Jésus bénissant les enfants / Jésus et les disciples d’Emmaüs / Apparition du Sacré-Coeur à Marguerite / Marie / la glorification du Sacré-Coeur
- Celui de gauche, la Saint Vierge Marie: Vierge offrant un rosaire à Saint-Dominique / le scapulaire au Bienheureux Simon Stock / Vierge apparaissant à Bernadette de Lourdes / glorification de la Sainte-Vierge
Ils ont été réalisés par le peintre-verrier BARY C. de Jette, pour un prix de 3.000 francs, payé pour 1/3 par les paroissiens et pour 2/3 par des extérieurs à la paroisse.
La statue de la Vierge de Banneux à Crisnée
Le 26 mai 1954, la statue de « Notre-Dame des Pauvres », venant de Banneux à travers toute la Province de Liège, s’arrête à Crisnée.
Le curé de la paroisse, l’abbé RIGO, vient à la rencontre du chariot qui la transporte, avec de nombreux paroissiens, à la sortie de Thys. Dans le village, elle s’arrête sous l’Arc de Triomphe érigé devant chez PIRSON. Elle est ensuite amenée à l’église.
Elle repartira ensuite vers Odeur.
Crisnée condamnée à payer sa quote-part
Le 29 septembre 1324, dans la cause pendante entre les mambours de l’église de Fize-le-Marsal et les paroissiens de Crisnée, le costre (?) DE MEDICIS François, le chanoine de Sclayn D’HEURE Guillaume et l’avocat à la Cour de Liège DE FERIERS André, condamnent les mandataires des paroissiens de Crisnée (notamment le Chevalier DE CRISNEE Eustache, au payement de leur quote-part dans les frais de réparation de la tour et des murs de l’église de Fize-le-Marsal.
Crisnée doit comparaître à Liège
Le 15 septembre 1324, DE CARRETO Perceval, archidiacre de Liège, mande au curé de Crisnée de citer ses paroissiens à comparaître à Liège, devant lui, pour répondre au libel des mambours de l’église de Fize-le-Marsal, relatif à la participation de Crisnée aux frais de réparation de l’église de Fize-le-Marsal.
Démolition de l’ancienne église (Crisnée)
Le 17 avril 1900, le premier coup de pioche de la démolition de l’ancienne église est donné à Crisnée, 3 ans après la prise de décision.
Pour assurer les cérémonies du culte, un hangar en bois, sans plancher, est accolé à la chapelle « Notre-Dame de lourdes », au lieu-dit « Â Pont ». C’est là que les paroissiens de Crisnée devront « aller à messe » pendant un long moment.
Les paroissiens condamnés (Crisnée – Fize-le-Marsal)
En 1324, les paroissiens de l’église Saint-Maurice de Crisnée sont condamnés pour avoir essayé d’éluder le paiement de leur quote-part dans les frais d’entretien de leur église-mère de Fize-le-Marsal.