Gilbert Balaes au Tour de Belgique (Lantremange)

En 1949, BALAES Gilbert, coureur cycliste indépendant, natif de Lantremange, participe au Tour de Belgique.

Course cycliste (Waremme)

En 1948, l’Union du Groupement Patriotique organise un grand prix cycliste à Waremme, sur le circuit « Patte d’Oie – Faimes – Carrefour de Hollogne-sur-Geer – retour vers la Patte d’Oie ».

En lever de rideau de la course pour professionnels, une épreuve pour amateurs démarre de la Place de la Gare.

Les professionnels, quant à eux, partent de la rue Joseph Wauters, devant le café « Obolenski », pour une distance de 120 kilomètres. BALES Gilbert est exceptionnellement autorisé à participer à l’épreuve, bien que toujours « indépendant ». La course est remportée par MIDDELKAMP Théo.

Paul Yans, cycliste (Waremme – Tongres)

En (?), le coureur cycliste de Waremme (?), YANS Paul, participe à la course contre-la-montre « Waremme – Tongres – Waremme », organisée dans le cadre de la Fête de la Porte de Liège.

Joseph Yans, coureur cycliste (Waremme – Belgique)

En 1907, le coureur cycliste de Waremme (?), YANS Joseph, dit « Jef », participe au Tour de Belgique dans la catégorie « Indépendants ».

Des patrouilles à Crisnée

Le 18 décembre 1847, il est créé un service de patrouilles à Crisnée, chargées de veiller à la sécurité des personnes et des biens pendant la saison d’hiver. Tous les hommes valides de 20 à 60 ans devront y participer, selon le nombre de postes prévus, l’heure et l’itinéraire prescrits.

Crisnée doit comparaître à Liège

Le 15 septembre 1324, DE CARRETO Perceval, archidiacre de Liège, mande au curé de Crisnée de citer ses paroissiens à comparaître à Liège, devant lui, pour répondre au libel des mambours de l’église de Fize-le-Marsal, relatif à la participation de Crisnée aux frais de réparation de l’église de Fize-le-Marsal.

La conscription (France – Belgique)

La conscription est instaurée par la loi Jourdan-Debrel du 17 Thermidor de l’An VI (5 septembre 1798). Elle entre en vigueur en l’An VII et, en France, sera abolie par le Roi LOUIS XVIII en 1814.

En principe, tous les jeunes Français doivent y participer. A l’origine, les plus jeunes conscrits de la classe convoquée doivent partir, sans autre possibilité d’exemption que l’infirmité. Rapidement, des aménagements sont apportés. Les principaux sont la possibilité de se faire remplacer et le tirage au sort.

Le tirage au sort se fait entre les jeunes gens du Canton, au chef-lieu du Canton d’abord, puis au chef-lieu du Département. Les départs à l’armée se font dans un premier temps par une « loterie » au moyen de cailloux blancs ou noirs, puis, à partir de l’An XIII, par des billets sur lesquels sont inscrits des chiffres. L’ordre des numéros obtenus par les conscrits détermine l’ordre des départs, après qu’aient été éliminés les hommes placés dans la Réserve, ajournés ou exemptés.

Le service militaire est de huit ans, chaque année de guerre comptant double. Le gouvernement peut, en cas de nécessité, garder les hommes sous les armes. Environ 25% des conscrits ont été libérés pendant la Paix d’Amiens. Ensuite, jusqu’en 1814, la seule manière légale de quitter les rangs de l’armée sera la mort ou la réforme pour invalidité. Quelques militaires ont bénéficié de congés exceptionnels.

L’instauration de l’Empire amène d’autres aménagements: le fils aîné de parents âgés de plus de 71 ans, l’aîné d’une veuve, le frère d’un militaire en activité de service, mort ou réformé pour invalidité contractée à l’armée sont placés dans la Réserve et ne seront en fait appelés que lors des levées de 1813. Sont définitivement exemptés les réformés pour infirmité, les conscrits mariés avant l’appel et les étudiants se préparant à la prêtrise. Des artistes et les étudiants destinés à certaines professions peuvent aussi être exemptés par le gouvernement. Jusqu’en 1811, les réformés pour taille insuffisante sont définitivement exemptés, mais dans les dernières années de l’Empire, ils peuvent être ajournés pour un nouvel examen à la levée suivante.

Si le motif qui a permis le placement dans la Réserve ou l’exemption disparaissent, le conscrit redevient appelable. L’existence d’un frère enrôlé volontaire ne permet le placement au fond de la Réserve qu’à partir de 1812.

La taille requise pour être soldat ne cessera de diminuer:

  • 1 m 625 jusque l’An VIII
  • 1 m 549 jusqu’en 1813
  • 1 m 495 lors des dernières levées de 1813

Ne pas être compris dans une levée ne permet pas au conscrit de se considérer comme sauvé, car jusqu’en 1813 les hommes ayant tiré au sort depuis 1806 vont être régulièrement convoqués. Les sénatus-consulte du 9 octobre et du 20 novembre 1813 reviennent jusqu’aux classes de l’An XI. En ce qui concerne le Département de l’Ourthe, le préfet refusera de reprendre les listes d’avant 1809, considérant qu’il s’agirait d’un travail inutile.

Le conscrit appelé peut se faire remplacer par un homme, français, de moins de 35 ans, libre d’obligations militaires. Il peut s’agir d’un conscrit de la Réserve, mais si ce dernier est convoqué, le remplacé devra fournir un autre remplaçant ou partir lui-même. En langage de l’époque, on parle de suppléé (celui qui se fait remplacer) et de suppléant (celui qui remplace). Pendant deux ans, le suppléé est responsable du suppléant et si celui-ci déserte, il est tenu de partir immédiatement ou de fournir un nouveau suppléant dans les quinze jours. On peut aussi échanger son numéro avec un conscrit placé plus loin sur la liste. Il s’agit alors de la « substitution ». Celui qui échange est le « substitué », celui qui accepte de partir est le « substituant ». A mesure que se succèdent les levées, de plus en plus gourmandes en hommes, les prix vont monter. En 1798, il est possible de trouver un remplaçant pour 300 francs, et les contrats mentionnent même parfois la possibilité pour le remplacé de se faire rembourser partiellement si la guerre dure moins de six mois. A la fin de l’année 1813, la difficulté de trouver un suppléant est telle que des conscrits ont été obligés de débourser jusqu’à 6.000 francs * pour décider un de ses rares concitoyens disponibles à marcher à sa place.

* (Pour donner une idée de l’importance de cette somme, un ouvrier urbain gagnait un moyenne d’un francs par jour, un journalier dans les campagnes, 85 centimes)

Le Waremme Motor Club à Hamoir

En septembre 1974, le « Waremme Motor Club » participe à la course de côte de Hamoir.

Carnaval à Grand-Axhe

En 1957, le « Groupe Attractif et Musical Liégeois » se produit au carnaval de Grand-Axhe.

Les bourgmestres cherchent des fonds (Thys)

En 1676, les bourgmestres de Thys sont charger de trouver de l’argent pour satisfaire aux rations exorbitantes réclamées par les troupes allemandes qui participent au siège de Maastricht. Ils obtiendront 300 florins du Seigneur du lieu, en gage sur des terrains.