En janvier 1940, THIRION Jean est négociant en vins à Waremme. Il est installé près du passage à niveau de la rue de Sélys-Longchamps.
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Les « Vananderoye, garde-barrières (Waremme – Bovenistier)
En janvier 1940, le famille VANANDEROYE est en charge de la barrière du passage à niveau sur la route de Waremme à Bovenistier. Le fils de la famille est le jeune VANANDEROYE Joseph.
La propriété « Beauduin » (Waremme)
En 1944, la propriété « BEAUDUIN » est située à proximité du passage à niveau de la rue de Sélys-Longchamps à Waremme.
Georges Snyers (Waremme)
En 1944, SNYERS Georges habite rue de Sélys-Longchamps à Waremme, à proximité du passage à niveau.
François Joannesse, garde-barrière (Corswarem)
En 1944, JOANNESSE François est garde-barrière au passage à niveau de la route de campagne qui relie Pousset à Limont. Il habite à Corswarem.
Un projet de sabotage avorté (Waremme)
Le 30 août 1944, suite à l’échec du bombardement du 28 août 1944, qui visait à interrompre la circulation des trains entre Bruxelles et Liège, des membres du Font de l’Indépendance (F.I.) décide de couper cette ligne en provoquant le déraillement d’un convoi. Ces Résistants sont DERYDT Alfred et GAUNE François.
Ils portent leur choix sur le « MITROPA » (contraction de « mittel » et de « europa ». C’est un train international qui traverse l’Europe Centrale). Ce convoi transporte presque exclusivement des militaires allemands et des personnes travaillant pour des organisations inféodées à la Wehrmacht.
Ils ont décidés de déboulonner les tire-fonds qui immobilisent les rails, à un endroit situé entre le passage à niveau de la râperie et le petit pont du chemin de fer vicinal qui enjambe la ligne 36. Pour éviter d’être surpris, les deux saboteurs demandent à LOYAERTS Frans de faire le guet. Sa maison est exactement en face de la ligne.
Vers 21h30, après la tombée de la nuit, les deux Résistants passent par la cour de LOYAERTS Frans et s’avancent vers les voies. Ils enlèvent une dizaine de tire-fonds avec une clé à molette, ils démontent des éclisses et essayent de désaligner les rails. Le décalage n’est pas très important, mais ils ne peuvent s’attarder, sous peine de se faire remarquer.
Vers 23h30, le train approche, arrive à l’endroit où les voies ont été sabotées et … passe sans problème.
Les saboteurs ne comprennent pas. Ils doivent maintenant remettre les voies en état, pour ne pas qu’un autre convoi, chargé de civils belges, déraille.
L’électricité de la rue Gustave Renier (Waremme)
En août 1944, la rue Gustave Renier de Waremme est alimentée en électricité par la cabine à haute tension située près du passage à niveau de la râperie.
Marie Haccourt, garde-barrière (Waremme)
Vers 1930 (?), HACCOURT Marie est garde-barrière à Waremme. Elle est préposée à la manoeuvre de la barrière du passage à niveau.
Elle occupe une petite maison, le long des voies, que les Waremmiens appelleront « Baraque Haccourt ».
Elise Pirson, garde-barrière (Waremme)
En 1944, PIRSON Elise est garde-barrière à Waremme. Elle est préposée à la manoeuvre de la barrière du passage à niveau.
Elle occupe une petite maison avec sa fille Jeanne, le long des voies. Cette maison appartient à la SNCFB. Les Waremmiens appellent cette maison « Baraque Mârcilène », allusion au prénom d’une précédente préposée, DEJARDIN Marceline.
Marceline Dejardin, garde-barrière (Waremme)
Vers 1910, DEJARDIN Marceline est garde-barrière à Waremme. Elle est préposée à la manoeuvre de la barrière du passage à niveau.
Elle occupe une petite maison le long des voies, qui appartient à la SNCFB. Les Waremmiens appelleront cette maison « Baraque Mârcilène« .