Jean-Remi de Chestret, propriétaire (Donceel)

En 1724, le domaine de Donceel passe à DE CHESTRET Jean-Remi, neveu de l’abbé HILAIRE Jean-Louis.

Reconstruction du château (Saives)

En 1707, le château-ferme de Saives est reconstruit par VAN DEN STEEN Lambert-Armand et DE LA VAUX Marie-Joséphine, dans un style mosan, à l’emplacement du précédent datant du 11ème siècle.

Ce château sera le siège de la Seigneurie de Saive. Une tourelle à toit de briques défend l’entrée de la propriété. (Le château passera ensuite à la famille GERBEHAYE).

Le droit du soixantième (Liège)

En 1772, les marchandises, manufacturées et denrées, qui transitent par les nouvelles routes du Pays de Liège, sont imposées au « Droit du Soixantième ».

Le château de Donceel

Au milieu du 17ème siècle, le château et le domaine de Donceel passent aux mains de la famille DE HEMRICOURT.

La Seigneurie de Celles

En 1623, la Seigneurie de Celles, dont font partie les villages de Saives, Saint-Anne, Labia et Termogne, passe aux mains de la famille VAN DEN STEEN.

Gaston Nélis vient voir ses enfants (Waremme)

En décembre 1943, NELIS Gaston, dit « Joseph », bijoutier de Waremme passé dans la clandestinité, revient discrètement chez lui pour fêter la Saint-Nicolas avec ses enfants.

Charles Gérard au F.I. (Remicourt)

En 1943, l’ancien bourgmestre de Remicourt, GERARD Charles, qui a démissionné pour ne pas appliquer les directives de l’occupant allemand, passe dans la clandestinité, au Front de l’Indépendance (F.I.).

« Les Degrés Saint-Pierre » (Waremme)

En 1960, l’étroit passage, dont les marches et les palliers traversent deux blocs de maisons de la rue du Perron vers la place de l’Eglise à Waremme, est détruit. Cet escalier s’appelait « Les Degrés de Saint-Pierre ».

L’écrémeuse Mélotte (Remicourt)

En 1888, avec des moyens rudimentaires, MELOTTE Jules, de Remicourt, met au point une écrémeuse à force centrifuge, dont le bol est suspendu à un axe mobile (contrairement aux machines existantes, dont le bol est soutenu).

Pour cette innovation, il recevra le Prix du Progrès, au Grand Concours International de Bruxelles. Elle va provoquer une révolution dans les milieux agricoles et entraîner une extension considérable des installations de l’entreprise.

écrémeuse mélotte

écrémeuse mélotte

Elle se compose d’un bâti en fonte portant le mécanisme construit en acier et en bronze.

Sur la face supérieure, se trouve le bac-réservoir en fer blanc, dans lequel on verse le lait immédiatement après la traite. Le lait fraîchement trait a une température de 30 à 35 degrés, température la plus favorable pour la séparation de la crème et du lait maigre.

En ouvrant le robinet de ce réservoir, le lait passe dans le régulateur d’alimentation, d’où il s’écoule dans le bol ou turbine.

La vitesse nécessaire est obtenue en faisant 40 tours de manivelle par minute. Le lait entier, arrivé dans le bol, est soumis à l’action de la force centrifuge. Il se sépare immédiatement en deux parties: la crème et le lait maigre. 

Aussitôt le réservoir vidé, la séparation complète de la crème et du lait est réalisée. Il ne reste plus alors qu’à laver le bassin et la turbine.