En novembre 1872, le docteur HUBAR(T) ( ?), de Waremme, soigne les « Pauvres » de Goyer, à la demande du Bureau de Bienfaisance de ce village.
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Les habitants de Waremme)
En 1736, de 80 et 90 ménages habitent dans l’enceinte de Waremme, dont 40 sont inscrits au registre des Pauvres. Mais il y a, en outre, de nombreuses habitations en dehors des portes.
Jean II de Corswarem, Mambour (Corswarem)
Vers 1675 (?), le Comte DE CORSWAREM Jean II est Mambour des Pauvres à Corswarem.
Jean 1er de Corswarem, mambour (Corswarem)
En 1629, DE CORSWAREM Jean 1er est Mambour des Pauvres à Corswarem.
Messe anniversaire à Lamine
Le 12 février 1661, une messe anniversaire est fondée en l’église de Lamine, avec un aumône d’un muid aux pauvres qui y assisteront.
Les pauvres se plaignent de la distribution des secours (Hodeige)
En 1733, les pauvres de Hodeige adressent une supplique à l’archidiacre du Brabant, précisant que les « Revenus des Miches » des Communs Pauvres de Hodeige sont également distribués aux censiers et aux autres habitants. Ils se plaignent également de ce que les mambours ne leur ont pas rendus leurs comptes. Copie de la supplique sera adressée au curé du village par l’archidiacre, ainsi qu’au mambour, pour y répondre.
Les revenus des Communs Pauvres (Hodeige)
Vers 1730 (?), les revenus des « Communs Pauvres » s’élèvent à 91 muids, à Hodeige. Ces revenus sont de deux types:
- Les revenus des Communs Pauvres proprement dits. Ils s’élèvent annuellement à 49 muids et 6 setiers, qui se distribuent aux seuls pauvres. On fait la distribution de ces revenus soit en grains, soit en argent, soit en secours en nature. Les secours en argent varient entre 3 patars et 10 florins. On donne aux malades de la viande, du vin, du pain blanc. On distribue des vêtements et de la houille. L’entretien des aliénés incombe à la caisse des Communs Pauvres, ainsi que la fourniture des drogues aux malades et des cercueils pour les défunts.
- Les autres revenus, qui s’élèvent à 42 muids, s’appellent les « Revenus des Miches ». Ils sont distribués indistinctement (peut-être par abus !) à tous les habitants. Cette distribution de miches se fait pendant le Carême. Le curé lui-même y participe (pour cela, il reçoit 3 muids), mais par contre, il doit chanter, chaque vendredi de Carême, une grand-messe de requiem pour les défunts pauvres; Sur les revenus des Miches, on paie 4 setiers au marguillier pour les anniversaires de Carême, 6 setiers à l’église et 4 aux sonneurs. Le registre des Miches contribue également au paiement du prêtre qui doit dire la première messe les dimanches et les jours de fête (de 6 à 10 muids). Annuellement, l’instituteur reçoit 8 muids pour son salaire, ainsi que pour le chauffage des enfants en hiver, et le loyer de la maison servant d’école et de grenier. Le registre des Miches rétribue également l’habitant du village, dit « gardien » ou « herbier », qui conduit tous les porcs (élevés par chaque habitant du village) à la pâture sur les bois communaux. Pour cela, il reçoit 2 muids par an. Enfin, le mambour chargé de distribuer les secours et de faire les comptes (ordinairement le curé ou le prêtre prémissaire) reçoit comme salaire 8 muids chaque année.
Mort du docteur Rigo (Remicourt – Lamine – Limont)
Le 28 mars 1902, le docteur RIGO Dieudonné décède à (?). Il a été médecin des pauvres de Remicourt, de Lamine et de Limont.
Dieudonné Rigo, médecin des pauvres (Remicourt)
Le 21 septembre 1886, le docteur RIGO Dieudonné est désigné médecin des pauvres de Remicourt. Ses honoraires sont fixés à 200 francs par an.
Les Récollets aident les nécessiteux (Waremme)
Aux 17ème et 18ème siècles, les Pères Récollets de Waremme prêtent assistance aux pauvres, aux malades et même aux pestiférés.