En 1256, les moniales de la Paix-Dieu payent le cens sur leurs biens situés à Oleye, à la Cour des Tenants du lieu.
Archives par mot-clé : payement
Le fermier locataire Dewonck (Longchamps – Waremme)
Le 17 juin 1892, DEWONCK vient payer le semestre de loyer de la ferme à DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond.
Le relief des fiefs
Faire relief ou relever un fief: l’héritier d’un homme de fief doit, endéans les 40 jours, après que le décès est venu à sa connaissance, relever le fief dont il hérite, payer des droits et le chambellage ou « Camerlinck-Ghelt ». Il dispose aussi de 40 jours pour apporter à son seigneur le dénombrement de son fief.
Si le propriétaire d’un fief, à quelque titre que ce soit, néglige d’en faire foi et hommage, et d’en opérer le relief, sans excuse légitime, il est sujet à poursuites devant la cour féodale.
Pour entrer en possession d’un fief, il y a 3 cérémonies essentielles:
- l’hommage
- la foi
- l’investiture
Les revenus du curé (Hodeige)
En 1582, l’église de Hodeige possède 2 bonniers de terre qui rapportent 6 muids 7 setiers; le reste des revenus s’élève à 23 muids environ. Ils consistent en rentes, dont quelques-unes, étant litigieuses, ne se payent pas.
Des prairies pour le curé (Hodeige)
Le 2 avril 1755, deux prairies (d’une superficie respective de 19 verges grandes et de 4 verges grandes) sont données au curé de Hodeige, l’abbé VILLEGIA Antoine par:
- HEUSKIN Sébastien, bailli de Hodeige et préposé de l’Etat primaire à Liège
- LATOUR Wathieu, mari de HEUSKIN Marion, soeur de HEUSKIN Sébastien
En retour, le curé renonce, en faveur de ses donateurs, pour lui et ses successeurs, en vertu du pouvoir qu’il a reçu de l’archidiacre du Brabant, à une rente de 13 setiers d’épeautre due à la cure par la famille HEUSKIN. En outre, le curé s’engage pour lui et ses successeurs, à leur payer annuellement une rente foncière d’un muid d’épeautre.
La TSF en Belgique
En 1933, 286.000 détenteurs de TSF ont payé la taxe en Belgique.
Don de Jules Mélotte (Remicourt)
Le 18 juin 1914, MELOTTE Jules fait un don de 4.000 francs à l’église de Remicourt pour contribuer à payer une dette de 4.700 francs et 205 francs d’intérêts, à l’entrepreneur MASTES (MATES ?) de Braine-l’Alleud.
De nouveaux vitraux pour l’église (Remicourt)
Du 18 au 21 mars 1914, trois vitraux sont installés dans le chœur de l’église de Remicourt. Chaque vitrail illustre quatre scènes:
- Celui du milieu illustre la vie de Jésus: naissance / atelier de Nazareth / Jésus mourant sur la croix / Jésus glorifié
- Celui de droite, le Sacré-Coeur de Jésus: Jésus bénissant les enfants / Jésus et les disciples d’Emmaüs / Apparition du Sacré-Coeur à Marguerite / Marie / la glorification du Sacré-Coeur
- Celui de gauche, la Saint Vierge Marie: Vierge offrant un rosaire à Saint-Dominique / le scapulaire au Bienheureux Simon Stock / Vierge apparaissant à Bernadette de Lourdes / glorification de la Sainte-Vierge
Ils ont été réalisés par le peintre-verrier BARY C. de Jette, pour un prix de 3.000 francs, payé pour 1/3 par les paroissiens et pour 2/3 par des extérieurs à la paroisse.
Cohabitation à Remicourt
Le 8 juin 1922, PETITJEAN Hector, instituteur à l’école des garçons de Remicourt, déclare que deux pièces d’habitation lui suffisent et que les autres pièces de l’immeuble peuvent être occupées par BRONCKART Edgard, garde-champêtre, qui s’acquittera du loyer en nettoyant les écoles et la Maison Communale.
Fin de L’Eclair (Waremme)
Vers 1994 (?), la société colombophile de Waremme « L’Eclair » arrête ses activités faute de nouveaux membres et dans l’incapacité de payer ses dettes.