La ferme du château (Thys)

En 1575, la ferme du château de Thys est louée, pour un bail de 9 ans, pour 300 muids d’épeautre payables comme suit:

  • 150 muids en froment et seigle (wassent)
  • 50 muids en épeautre (y compris 10 muids en orge)
  • 100 muids en argent

François Putzeys, ruiné (Ligney)

En août 1693, le fermier de Ligney, PUTZEYS François, ruiné par les passages successifs de troupes, cesse de payer ses fermages.

L’abbé de Saint-Trond veut racheter des terres (Oreye)

En 1601, l’abbé de Saint-Trond, BETTEN Léonard, entame des négociations avec les héritiers de VAN DER ERTWECK Denis, de Liège, pour racheter des terres sises à Oreye. Le prix est fixé à 6.100 florins du Brabant. Il s’engage à le payer par une rente annuelle de 406 florins (en +/- 15 ans).

La redevance du curé (Waremme)

En 1078, le desservant de l’église domaniale de Waremme doit acquitter chaque année une redevance d’un porc, six pains, deux setiers de vin et quatre chapons.

L’avouerie de Hesbaye saisie

albert de ligne

albert de ligne

En février 1657, faute de payement de rentes, une partie des biens de DE LIGNE Albert sont saisis, dont l’avouerie de Hesbaye.

Visite archidiaconale (Oleye)

Le 12 octobre 1727, une visite archidiaconale est effectuée à l’église d’Oleye, par le sieur FRESART, notaire apostolique.

Il constate qu’il existait autrefois 3 bénéfices dans cette église, mais que, celle-ci ayant été totalement reconstruite en 1682, ils sont desservis à un même autel:

  • Un premier bénéfice, sous l’invocation de la Vierge Marie-Majeure et de Saint-Jean-L’Evangéliste, possédé par le sieur PIROTTE, curé de Jemeppe, est desservi par PIERET Guillaume. Les revenus attachés à cette fondation s’élèvent à 40 muids, avec charge de 2 messes septimaniales et l’obligation de payer 10 florins-brabant à la Fabrique, pour l’usage des ornements.
  • Un deuxième bénéfice, sous l’invocation de Saint-Nicolas, possédé par FREYSERS Michel. Les revenus consistent en 24 muids, perçus dans les communes d’Oleye et de Grand-Axhe, avec charge d’une messe septimaniale et de payer une rétribution à la Fabrique.

Le moulin banal de Lantremange

En 1278, il y a un moulin banal à Lantremange. Les habitants de la seigneurie sont tenus de l’utiliser et de payer une redevance au Seigneur

Le conseil communal nomme treize pompiers (Waremme)

Le 6 avril 1893, le conseil communal de Waremme procède à la nomination de treize pompiers :

  • BARCY Jules (mécanicien)
  • BERTRAND Henri (peintre en bâtiments)
  • BROUCKMANS Pierre (concierge)
  • DELAIRESSE Joseph (menuisier)
  • GEUQUET Adrien (ardoisier)
  • GOES Xavier (charron)
  • GOFFIN Guillaume (garde-champêtre)
  • JACQUET Albert (peintre en bâtiments)
  • LIBENS Lambert (cantonnier)
  • MASSAU Joseph (garde-champêtre)
  • MASSAU Noël (garde-champêtre)
  • UYTDENBROECK Louis (plombier zingueur)
  • VANAKEN Jean (plombier zingueur)
  • VANSPAUWEN Lambert (jardinier)

C’est GEUQUET Adrien qui est nommé chef des pompiers. Ils sont payés à l’incendie.

Certains villages ne paient plus la taille à Waremme

En 1747, BOUX G., secrétaire du Magistrat de Waremme, adresse une lettre au Prince-Evêque de Liège, se plaignant du fait que les habitants de communautés voisines d’Hartenge, d’Oleye, de Bettincourt, de Bleret et de Bovenistier, ont renoncé à plusieurs reprises de venir payer les tailles imposées à Waremme, pour les frais de cette Guerre, alors qu’un règlement du Prince-Evêque de 1686 les y obligerait.