En 1372, le châtelain de Waremme, DE MONDERSDORP Bauduin, figure, avec les principaux nobles du Pays de Liège, à l’acte de réformation des Douze Juges des familles.
Son épouse est la dame DE HEYENHOVEN.
En 1372, le châtelain de Waremme, DE MONDERSDORP Bauduin, figure, avec les principaux nobles du Pays de Liège, à l’acte de réformation des Douze Juges des familles.
Son épouse est la dame DE HEYENHOVEN.
En 1983, le Waremmien, PARENT Edmond, devient secrétaire de l’Association des Patrons peintres du Pays de Liège.
En 1897, les patrons peintres du Pays de Liège se regroupent en association pour défendre leurs intérêts et l’amour du travail bien fait. Les critères d’admission y sont très rigoureux.
En juillet 1989, le peintre en bâtiment waremmien, PARENT Edmond, est nommé président de l’Association des Patrons peintres du Pays de Liège.
En 1665, la famille « DE SELYS » s’attribue de titre de Baron, au motif qu’elle est en possession des quatre grandes baronnies du Pays de Liège.
« … DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Laurent, né à Liège en 1750, est décédé hier, à 9 h et demie du soir. Homme de progrès et défenseur zélé des libertés publiques, il s’associa dès le principe, aux grands travaux, qui entrepris sur le sol français, devaient amener la rénovation sociale d’une grande partie de l’Europe. A l’arrivée de DUMOURIEZ à Liège en 1793, il fut un des membres de la Convention liégeoise. Bientôt la retraite des Français le fit s’exiler de sa Patrie et il ne pût y rentrer que lorsqu’ils reparurent une seconde fois en Belgique le 27 juillet 1794. Dès cette époque, Monsieur DE SELYS-LONGCHAMPS fut successivement, membre de l’administration du Pays de Liège, délégué de cette administration pour organiser le canton de Saint-Trond. En 1795, il fut envoyé à Bruxelles où siégeait l’administration centrale des 9 départements réunis et obtint ensuite la présidence de la Municipalité de Liège.
De 1801 à 1807, il siégea au Corps Législatif français. Il faisait partie de cette honorable minorité, qui combattit pied-à-pied les envahisseurs de BONAPARTE. Il vota contre l’extension du Consulat à vie.
A Paris, Monsieur DE SELYS-LONGCHAMPS n’oubliait pas les intérêts de son pays. Les départements de l’Ourthe, de Meuse inférieure et de Roer furent frappés en 1814 d’une contribution de 6 millions. Monsieur DE SELYS-LONGCHAMPS fut chargé, avec deux de ses collègues, de porter à Aix-la-Chapelle les réclamations que faisaient naturellement surgir cet acte de conquête.
Mais la plus belle partie de la carrière politique de Monsieur DE SELYS-LONGCHAMPS est, sans contredit, celle qui s’est écoulée sous la domination de la Hollande. La réaction qui se fit sentir dès que GUILLAUME eut pris les rênes de notre gouvernement, trouva en lui un adversaire chaleureux. Soit dans le sein des Etats Provinciaux de Liège, où il se trouvait en 1810, il ne cessa de s’élever contre la tendance arbitraire que le prince néerlandais voulait imprimer à toutes nos institutions. GUILLAUME créa un corps de privilégiés, connu sous la dénomination impopulaire « d’Ordre Equestre ». Né noble, le Baron DE SELYS-LONGCHAMPS pouvait y aspirer. Il le dédaigna. La noble et simple inscription de citoyen de campagne sur les listes civiques, lui parût plus flatteuse, plus digne de son caractère, que la pompe d’un titre, dont la grande révolution avait montré la vanité et le néant.
Son grand âge ne l’éloigna pas des affaires publiques. La révolution de 1830 le retrouva jeune encore. Il fut nommé membre de la commission consultative près de la régence de Liège.
Lorsque le district de Waremme l’envoya au Congrès National belge pour assister à notre émancipation politique, la protéger de son autorité et de son expérience, il vota toutes les mesures importantes qui fondèrent notre indépendance: l’exclusion de Nassau, la Constitution belge, …
Cependant, à peine la Belgique avait-elle appelé sur son trône le Roi LEOPOLD 1er, qu’elle se laissa aller au gré des exigences diplomatiques. Dès lors, on vit disparaître du gouvernement cette franche énergie du vrai patriotisme, pour se réfugier dans les rangs d’une minorité courageuse, dont Monsieur DE SELYS-LONGCHAMPS faisait partie, jusqu’au moment où il crut, à propos, au déclin de ses jours, de s’éloigner du théâtre des affaires politiques … »
En 1698 et 1699, les Etats du Pays de Liège décident de ne lever aucune taille.
En janvier 1672, le roi de France, LOUIS XIV, conclut un traité d’alliance offensive avec le Prince-Evêque, DE BAVIERE Maximilien-Henri, qui s’engage uniquement en tant qu’Electeur de Cologne. En théorie, le Pays de Liège, neutre, n’est pas partie belligérante. Mais dans les faits, et l’Electorat de Cologne, et la Principauté de Liège, serviront de base aux opérations militaires.
Vers 1700, les Etats du Pays de Liège instituent, pour financer la construction et l’entretien des chaussées, une taxe qui est perçue à l’occasion du passage des marchandises en divers endroits échelonnés le long de ces routes. Des barrières y interceptent le trafic, afin de permettre la perception de cet impôt.
En décembre 1465 – janvier 1466, au lendemain de la bataille de Montenaken, la paix est imposée aux Liégeois par CHARLES LE TEMERAIRE.
Aux termes de ce traité, le Duc de Bourgogne devient « gardien et avoué souverain héréditaire » des églises, de la cité et du pays de Liège, interdit toute alliance conclue sans son accord, se voit accorder le libre passage de ses troupes et oblige les Liégeois à recevoir sa monnaie.