Jacques Genot, percepteur (Odeur)

Vers 1847, GENOT Jacques est percepteur des impôts (péage à la barrière d’octroi). Il habite à Odeur.

Le pont de la Boverie (Liège)

En 1866, à Liège, le pont de commerce reliant Avroy à la Boverie, est un pont privé. Le droite de passage s’élève à 3 centimes par personne.

Barrières de péage

Le 21 avril 1846, des barrières de péage sont établies à Bovenistier, à Faimes et à Hollogne-sur-Geer.

La barrière du Baron (Waremme)

Le 2 mai 1871, le Conseil Communal de Waremme entérine la demande du Baron DE LAFONTAINE Eugène, d’établir sur le Chemin de Huy, une barrière parallèle à celle du Chemin de Fer existante.

Deux nouvelles barrières de péage (Waremme)

Le 27 juillet 1867, le Conseil Communal de Waremme décide la création de deux nouvelles barrières de péage, sur le Chemin de Longchamps.

Réclamation contre l’imposition communale (Waremme)

En mars (?) 1867, les sucreries LAURENTY et MOMMENS introduisent une réclamation contre l’imposition mise à leur charge par la commune de Waremme, pour la réparation des voiries communales. Elles déclarent participer déjà à ces réparations par les droits de péage qu’elles acquittent lors de leurs transports.

La réparation des voiries coûte cher (Waremme)

Le 7 mars 1867, le Conseil Communal de Waremme constate, qu’en 1866, la voirie empierrée de la commune et les chemins de grande communication qui traversent son territoire, ont été fortement dégradés par:

  • le charroi des transports de briques nécessaires à la construction de la sucrerie « MOMMENS »;
  • par le transport des betteraves vers les sucreries de Waremme et des environs;
  • par le transport du charbon nécessaire au fonctionnement de ces entreprises .

 

La commune a supporté une augmentation des frais d’entretien des chemins empierrés et pavés de la commune pour un montant de 427,45 francs en 1865 et de 448, 63 francs en 1866. Cette augmentation étant causée par l’augmentation du charroi vers les sucreries de Waremme, le Conseil Communal décide de les taxer comme suit:

  • Sucrerie LAURENTY: 427, 45 francs pour 1865 et 348,63 francs pour 1866
  • Sucrerie MOMMENS: 100 francs pour 1866

Ces impositions prennent en considération les droits de péage payés par ces entreprises.

 

La commune a supporté une augmentation des frais d’entretien des chemins de grande communication traversant son territoire, pour un montant de 1.220,80 francs en 1865 et de 1.464,96 francs en 1866. Cette augmentation étant causée par l’augmentation du charroi vers les sucreries de la région, le Conseil Communal de Waremme décide de les taxer comme suit:

  • Sucrerie de Les Waleffes: 404 francs pour 1865 et 485 francs pour 1866
  • Sucrerie de Hollogne-sur-Geer: 816 francs pour 1865 et 980 francs pour 1866

Les péages sur les routes (Liège – Hesbaye)

En 1866, il y a 129 barrières de péage sur les routes de la Province de Liège. Elles lui rapportent, environ, 260.000 francs belges de taxes par an. Une partie de ces taxes permet d’entretenir les routes, l’excédent permet d’en construire de nouvelles.

Cependant, la Hesbaye est très peu dotée de chemins empierrés. Plus de la moitié de l’année, les paysans, les attelages et les voyageurs s’enfoncent de le bourbier des chemins de terre.

Les péages sur les routes (Belgique)

En 1831, le Congrès National décide de conserver les droits de barrières (péages) sur les routes nationales et provinciales,, et d’en consacrer les revenus à l’entretien et à l’amélioration du réseau routier dans son ensemble.

En général, les barrières sont disposées tous les 5 kilomètres. Elles sont affermées individuellement à des personnes privées, désignées par le biais d’une adjudication publique. Moyennant le paiement d’un montant convenu, le preneur peut exploiter une barrière déterminée.