Le 31 août 1894 des travaux sont en cours à la ferme de Froidbise à Waremme:
- forage d’un puits
- trou pour le fumier
- repavage de la basse-cour
- achèvement de la laiterie
- remise en peinture de l’escalier et du corridor
Le 31 août 1894 des travaux sont en cours à la ferme de Froidbise à Waremme:
En 1699, quelques prix dans la région de Waremme – Hodeige:
En 1930, le chœur de l’église de Jeneffe est repeint.
En 1965, la Maison HENROTAUX est installée à Waremme.
Elle vend:
En 1965, l’ancien prisonnier de guerre PIROTTE Louis exploite une entreprise de peinture, papiers-peints, balatum, lino, … Il est installé au n° 68 de la rue de Huy à Viemme.
En avril 1905, les anciens piliers de la nef septentrionale romane de l’église de Hodeige sont mis à nu. Ils étaient enclavés dans la muraille depuis la disparition de la troisième nef. Ils étaient ornés (ainsi que les arcades) de rinceaux et de fleurs rouges sur fond blanc. Sur le gros pilier près du chœur, un fragment de peinture à la détrempe révèle un personnage assis sur un « faldistorium », ce qui porte à croire que tout le reste de l’église était également orné de peintures.
Le 24 mars 1905, en démontant le maître-autel de l’église de Hodeige, on découvre, derrière le massif en pierre, une statuette en chêne mutilée de soldat, qui doit provenir du retable vendu vers 1841. Cette statuette est peinte et dorée, avec une partie gaufrée.
Vers 1503 (?), Maître LE PONDEUR Antoine et son fils, LE PONDEUR Martin, fournissent à l’église de Hodeige un Christ en Croix Triomphal avec les deux statues de la Sainte-Vierge et de Saint-Jean. Sur la « trabes », ils doivent peindre, en outre, les figures des 12 apôtres (probablement en buste seulement). Ils s’engagent à faire le tout pour 38 florins.
En 1538, des statues de 10 Apôtres sont placées dans le chœur de l’église de Hodeige, sur la « trabes », à côté de celles de la Sainte-Vierge et de Saint-Jean. Ces statues coûtent 57 florins, plus 70 florins pour leur peinture et celle des treillis.
En 1944, les Allemands déclarent que le château d’eau de Remicourt sert de point de repère pour les aviateurs alliés qui partent bombarder le Reich. Ils donnent l’ordre à la commune de peindre l’édifice en vert, sous peine de le dynamiter en cas de non exécution.