Les Français et les religieux (Belgique – France)

En 1795, dès leur entrée en Belgique, les Français donnent aux religieux et religieuses pleine liberté d’abandonner leur état. Ils leur garantissent même une pension viagère sur les revenus de leur couvent.

Ils résisteront presque tous à la tentation.

Nouveaux services de la coopérative « La Justice » (Waremme)

En 1905, la coopérative « La Justice » de Waremme met sur pied:

  • un service médical gratuit;
  • une caisse de pension, qui alloue une retraite aux coopérateurs âgés de 60 ans;
  • une caisse d’épargne, calquée sur celle de l’Etat, qui donne 3,5% d’intérêts aux déposants.

Les peines de Daniel François et d’Alain Michelet sont définitives (Waremme)

Le 9 décembre 2015, la Cour de Cassation rejette les pourvois introduits par le Chef de la Zone de Police de Hesbaye, FRANCOIS Daniel, et par son adjoint, MICHELET Alain, contre la condamnation qu’ils ont encourue dans le cadre de l’affaire de suicide de leur subordonnée, la policière KOCH Sandra.

 

RAPPEL DES FAITS

Le 11 novembre 2011, la policière de Waremme KOCH Sandra, récemment mutée à Crisnée, se rend dans les bois de Stoumont en voiture, avec ses enfants Emilie (17 mois) et Bastien (4 ans). Elle prépare un petit « bûcher », s’asperge, ainsi que ses enfants, d’alcool et y met le feu. Ils sont gravement brûlés, mais ne décèdent pas. Elle s’empare alors d’un couteau, tue sa fille et inflige de profondes blessures à son fils (qui conservera toute sa vie d’importantes séquelles). Elle appelle alors les secours. Elle explique avoir été la victime de harcèlement de la part de ses supérieurs hiérarchiques. On la retrouvera pendue dans sa cellule le 6 décembre 2012.

Le Tribunal Correctionnel de Liège, statuant en première instance, a condamné FRANCOIS Daniel à 12 mois de prison avec sursis, et MICHELET Alain à 10 mois également avec sursis, pour harcèlement au travail et traitement inhumain et dégradant.

Ce jugement a été confirmé par la Cour d’appel de Liège, qui a ajouté que c’est ce harcèlement moral, ce traitement inhumain et dégradant, qui ont involontairement poussé KOCH Sandra à blesser gravement son fils, à tuer sa fille et à se suicider. Pour les juges d’Appel, c’est bien le comportement malveillant des deux commissaires qui est à l’origine du drame. Les juges ont précisé que les deux policiers ont créé un climat hostile qui a plongé leur subalterne dans un état psychologique fragile. Les magistrats ont considéré que ces deux supérieurs hiérarchiques auraient du prévoir que cet état psychologique pouvait entraîner des conséquences tragiques.

Si la peine de prison avec sursis a été maintenue par la Cour d’Appel, l’élargissement de la responsabilité des deux hommes a amené la Cour à les condamner, en sus, à payer des dommages et intérêts provisionnels de 75.000 euros à la famille. Cette somme servira, notamment, à payer les frais très lourds du traitement du fils de KOCH Sandra.

Cette sanction est maintenant définitive.

 

MAIS DANIEL FRANCOIS N’EN A PAS TERMINE

Entre l’arrêt de la Cour d’Appel et la décision de la Cour de Cassation, MICHELET Alain a pris sa retraite, échappant ainsi aux sanctions administratives qui n’auraient pas manqué de s’abattre sur lui, à l’issue du rejet du pourvoi par la Cour de Cassation. Par contre, FRANCOIS Daniel (plus jeune), en arrêt maladie, depuis la condamnation en première instance (!), est dans l’attente des sanctions qui devraient découler de la procédure disciplinaire lancée contre lui par le Ministre de l’Intérieur (procédure gelée dans l’attente de la décision de la Cour de Cassation).

Les sanctions possibles sont (de la plus légère à la plus lourde):

  • l’avertissement,
  • le blâme,
  • la retenue de traitement,
  • la suspension par mesure disciplinaire (de maximum trois mois),
  • la rétrogradation dans l’échelle de traitement,
  • la démission d’office,
  • la révocation (celle-ci fait perdre à l’intéressé sa qualité de membre du personnel, entraînant de lourdes conséquences au niveau de la pension).

 

 

Pierre Hallet, commissaire d’arrondissement (Waremme)

Le 3 février 1848, HALLET Pierre est nommé commissaire d’arrondissement de Waremme. Il remplace BOUSSEMART Henri-Joseph, admis à la retraite.

Monsieur Gilkinet, secrétaire (Waremme)

Le 31 juillet 1895, GILKINET D. est nommé secrétaire du bureau administratif de l’Ecole Moyenne de Waremme, en remplacement de Monsieur STRAUVEN, pensionné.

Remarque: La Commune avait proposé RENIER Louis pour ce poste, mais le Ministre SCHOLLAERT a préféré nommer un Catholique militant, recommandé par DE BORCHGRAVE-DE BOVELINGEN.

Henri Monjoie, retraité « actif » (Waremme)

henri monjoie

henri monjoie

En octobre 1954, MONJOIE Henri est retraité de la Régie des Téléphone et Télégraphe (RTT). Il peut, dès lors, devenir bourgmestre faisant-fonction de Waremme. Il occupera cette fonction jusqu’en 1969.

Camille Hardy, en disponibilité (Waremme)

En 1943, le Secrétariat Général de l’Intérieur met le commissaire de police de Waremme, HARDY Camille, en disponibilité et demande à la ville de lui octroyer une pension.

Des pompiers mis à l’honneur (Waremme)

En mars 1990, le conseil communal de Waremme met à l’honneur 3 pompiers, à l’occasion de leur mise à la retraite:

  • Monsieur PETITJEAN, après 22 ans de service
  • VAN HOVE Alphonse, après 20 ans de service
  • BERGER Guillaume, après 26 ans de service

René Constant, retraité (Waremme)

Le 16 janvier 2015, une réception est organisée à la Justice de Paix de Waremme, au n° 31 de l’avenue Emile Vandervelde, à l’occasion de la mise à la retraite de Juge de Paix, CONSTANT René.

A cette occasion, une exposition d’oeuvres d’art est proposée au public. Les artistes présentés sont:

  • BOVY Jacques, peintre
  • DESIR Luc, peintre
  • WILMOTTE Françoise, peintre
  • PAPART Thierry, sculpteur

Victor Fraipont, retraité (Waremme)

En 2007, FRAIPONT Victor, enseignant à l’Athénée Royal de Waremme, prend sa retraite.