L’école Pergay déménage (Waremme)

Vers 1853 (?), l’école et le pensionnat pour jeunes filles des sœurs PERGAY Valériane et Sophronie quitte les locaux de l’école communale pour permettre à l’Ecole Moyenne de l’Etat de se développer. Elles louent alors une maison rue de la Station (qui deviendra plus tard avenue Reine Astrid), pour s’y installer. En compensation, le Conseil Communal de Waremme leur accorde un subside de 700 francs; l’une des sœurs est nommée institutrice communale et est rétribuée comme telle.

Naissance de Françoise Missotten (Gossoncourt – Waremme)

Le 10 août 1907, MISSOTTEN Françoise voit le jour à Gossoncourt. Elle fréquentera le pensionnat des Filles de la Croix, à Waremme.

Mort de Françoise Missotten (Waremme – Gossoncourt)

Le 12 juin 1921, MISSOTTEN Françoise, native de Gossoncourt, y décède à l’âge de 14 ans. Elle était élève au Pensionnat des Filles de la Croix, à Waremme.

Anne-Marie Briffoz, surveillante (Waremme)

En 1962, BRIFFOZ Anne-Marie est surveillante au pensionnat de l’Institut Notre-Dame du Sacré-Coeur, Filles de la Croix de Waremme.

Des grammaires pour les pensionnaires (Waremme)

En novembre 1915, la Supérieure du Pensionnat des Filles de la Croix, à Waremme, achète à Monsieur DESSAIN des grammaires « Courtois ».

Augusta Smets, pensionnaire (Waremme)

En 1903, SMETS Augusta est pensionnaire au pensionnat des Filles de la Croix, à Waremme.

Marie Berchmans, directrice (Celles)

En 1926, BERCHMANS Marie est maîtresse générale du Pensionnat de la Visitation de Sainte-Marie, à Celles.

Julienne Lapp, distinguée (Celles)

Le 14 juillet 1926, LAPP Julienne, interne au pensionnat de la Visitation de Sainte-Marie, à Celles, reçoit une carte de distinction.

Juliette Lapp, interne (Celles)

En 1926, LAPP Julienne est interne au pensionnat de la Visitation de Sainte-Marie, à Celles.

Lutte contre la petite vérole (Hollogne-sur-Geer)

Le 18 avril 1818, un arrêté, visant à combattre la propagation de la petite vérole, est pris pour les villages de la région de Hollogne-sur-Geer:

 » … Aussitôt que la petite vérole se manifeste dans une maison, il sera attaché, par les soins de la police, au-dessus de la porte d’entrée principale, un écriteau portant les mots – De par l’Autorité, Maison infectée de la petite vérole – Cet écriteau muni du sceau de la mairie restera suspendu aussi longtemps que la maladie règnera dans la maison.

A l’exception des ecclésiastiques, des médecins, des gardes-malades, personne ne pourra avoir des communications avec les maisons infectées.

Un enfant habitant la maison ne pourra avoir des communications avec d’autres enfants.

Le corps d’une personne morte de la petite vérole devra être promptement inhumée et au plus tard dans les deux fois 24 heures, sans que qui que ce soit puisse le recevoir à l’église.

Il est défendu, aux maîtres et maîtresses d’écoles et de pensionnats, de recevoir sous peine d’une amende de 3 à 10 florins, un enfant qui n’aura pas été vacciné.

Il est également fait défense aux établissements de charité d’accorder des secours aux familles qui négligent de faire vacciner leurs enfants. »