En 1933, Madame Catherine ( ?) est servante au pensionnat de l’Institut des Filles de la Croix. C’est une petite femme rougeaude au dos courbé. Elle apporte un bol de soupe aux fèves, aux élèves de gardienne.
pensionnat des filles de la croix
Le 12 avril 1930, des travaux d’agrandissement sont entrepris au pensionnat de l’Institut des Filles de la Croix, de Waremme:
En 1907, l’enseignement réservé aux demoiselles, notamment au pensionnat de l’Institut des Filles de la Croix, vise essentiellement à leur donner une solide éducation religieuse et des connaissances pratiques, bien plus qu’une formation générale.
En 1901, devant le succès, tant du pensionnat que de l’externat de l’Institut des Filles de la Croix de Waremme, la congrégation fait construire un nouveau et vaste bâtiment rue de Huy (qui deviendra plus tard la rue Joseph Wauters). Une aile sera occupée par des classes et un dortoir pour le pensionnat. L’autre aile sera occupée par des classes primaires, s’ouvrant sur le jardin, avec une cour et une entrée indépendantes.
En 1891, sur l’emplacement d’étables démolies, la congrégation des Filles de la Croix fait construire un nouveau bâtiment à Waremme, contigu au pensionnat de l’Institut. On y aménage une grande salle de récréation, des classes et des dortoirs.
En 1887, la congrégation des Filles de la Croix fait construire un bâtiment, appelé « Petite Maison de Saint-Joseph », rue de Huy à Waremme (qui deviendra plus tard la rue Joseph Wauters). C’est une annexe du Pensionnat de l’Institut des Filles de la Croix. Elle abrite notamment une boulangerie et une buanderie.
En 1873, une chapelle néo-gothique est construite sur le terrain adjacent au pensionnat de l’Institut des Filles de la Croix, le long de la rue de Huy (qui deviendra plus tard la rue Joseph Wauters).
En 1866, les Soeurs de la Sainte-Union de Douai, qui jusque-là dirigent un pensionnat de jeunes filles à Waremme, décident de quitter définitivement la ville.
A partir de 1858, l’Ecole Moyenne Catholique, (qui deviendra le Collège Saint-Louis en 1885), s’installe progressivement dans un vaste immeuble de la Rue de la Station (qui deviendra l’avenue Reine Astrid), acquis par l’Evêque de Liège, pour un montant de 25.000 francs.
Cet immeuble était, jusqu’alors occupé par le pensionnat des demoiselles PERGAY Sophronie et PERGAY Valériane. Durant cette même année 1858, un bâtiment, recelant quatre classes et une chapelle, est adjoint à cet immeuble.
En 1816, la commune de Waremme envisage de reconstruire le pensionnat du couvent des Sépulchrines, qui a été supprimé à la Révolution Française. Dans ce but, le maire de Waremme adresse une lettre au sous-intendant de l’arrondissement de Liège, pour lui rappeler l’audience que ce pensionnat avait avant sa fermeture : « Les sœurs se donnaient à l’instruction publique. Leur pensionnat était très suivi et toujours fréquenté, non seulement par les demoiselles de Waremme et des communes avoisinantes, mais aussi par les demoiselles du pays flamand, jusqu’à cinq, six ou huit lieues de distance. » Ce projet ne sera cependant pas concrétisé.