Fossé à Longchamps

Le 11 janvier 1857, un fossé a été percé entre le Ruisseau Renard et l’étang de l’Ermitage, à Longchamps.

Travaux dans le parc (Longchamps)

Le 24 mai 1860, une porte est percée dans le pavillon de l’Orangerie du château de Longchamps et la cour est empierrée.

De Blanckart agressé (Waremme)

Le 26 octobre 1860, des élèves de l’école catholique de Waremme jettent une bouteille sur la carriole de DE BLANCKART, qui perce le cuir de la voiture.

Les écuries du château (Longchamps)

Le 4 juin 1879, LISMONDE perce la porte dans le mur du grenier, au-dessus des écuries du château de Longchamps.

Travaux au château (Longchamps)

Du 13 au 16 juillet 1879, les travaux se poursuivent au château de Longchamps:

  • on a bâti et mis le premier mortier aux nouvelles chambres
  • la loge à vins est terminée
  • percement de la porte près de la sellerie
  • enlèvement du plafond de la nouvelle lingerie

Des fenêtres à l’Orangerie (Longchamps)

Le 16 juillet 1883, de nouvelles fenêtres sont percées à l’Orangerie du château de Longchamps, du côté du Geer.

Rigole entre les deux Geer (Longchamps – Waremme)

Le 30 novembre 1894, près de l’Île aux Saules, une rigole pour faire passer l’eau de Wachné vers l’ancienne Source Renard, est percée à Waremme. Des alevins de truites y sont déversés.

La ferme d’Otrange

En 1981, au Nord de l’imposant château d’Otrange du 18ème siècle, principalement de Style Mosan, toujours entouré de douves, et lui faisant face dans un très beau site de prairies boisées traversées par le Geer, se trouve une vaste ferme en U, en brique et calcaire, sur soubassement en moellons, couverte de bâtières de tuiles. Datant du 17ème siècle, la plupart de ses bâtiments ont été remaniés (essentiellement au 19ème siècle).

L’aile Est de cet ensemble comprend le logis, le porche non saillant et des étables qui se prolongent dans l’aile centrale.

L’aile Ouest est réservée à la grange.

L’accès à la cour semi-pavée se fait à l’Est par le porche formé d’un arc en anse de panier, doublé d’un rouleau de brique, sur piédroits chaînés et protégé par des chasse-roues. Ce porche est couvert d’un plafond plat en bois. Il jouxte le logis en L, dont la partie la plus courte déborde de l’alignement de l’ensemble des bâtiments et baigne dans les douves du château. Un beau pignon débordant à épis, portant la date de 1646, forme l’angle de ce logis d’un niveau et demi. Il est divisé en cinq travées et éclairé de larges baies rectangulaires, probablement percées au 19ème siècle.

Les étables, couvertes de plafonds plats en bois, sont percées de portes à linteau droit avec un arc de décharge en brique sur piédroits chaînés, alternant avec des fenêtres du même type. Elles sont surmontées de fenils, s’ouvrant par des baies gerbières cintrées sur piédroits harpés, cantonnées de petites ouvertures à linteau droit. A l’origine, la bâtière de tuiles devait être débordante vers la cour et reposait sur des jambes de force en bois prenant appui sur des consoles de pierre encore visibles.

Un pigeonnier couvert d’une bâtière de tuiles s’élève au-dessus du volume constitué par l’aile centrale du U. Il porte la date de 1830, qui s’applique certainement à diverses transformations effectuées aux percements de cette partie.

La grange en double-large s’ouvre vers la cour par deux portails protégés d’un auvent de tuiles prolongeant la bâtière et reposant sur des jambes de force en bois. Le portail gauche a été transformé; celui de droite est en plein cintre, doublé d’un rouleau de brique sur piédroits harpés. Des percements récents altèrent légèrement l’aspect de cette grange, dont l’intérieur a été réaménagé pour l’élevage des vaches laitières. Deux annexes couvertes de tuiles s’y appuient. La plus vaste était peut-être utilisée comme manège à battre le grain.

Un appentis de tuiles sur piliers de brique est adossé au revers des étables de l’aile droite, servant de remise à matériel.

En dehors du quadrilatère, face au logis, un petit bâtiment, aujourd’hui transformé en garage, aux pignons débordants à épis, abritait probablement le four à pain.

Construction d’un château (Bleret)

Au 18ème siècle, un château, dit « La Pommeraie », est construit à Bleret. La façade est percée de nombreuses fenêtres, de dimension plutôt réduite, entourées de pierre de taille. Un bandeau de pierre continu relie les linteaux des fenêtres du deuxième étage.

Importants travaux au château (Otrange)

En 1962, le propriétaire du château d’Otrange, le Chevalier DE SCHAETZEN Jean, entreprend d’importants travaux de sauvegarde et d’aménagement. Un aile du 18ème siècle, en mauvais état, est supprimée. Le côté Sud est remanié, notamment par le percement de nouvelles fenêtres. Un soin tout particulier est donné à l’équilibre esthétique. Une partie des douves est comblée.