Incendie au presbytère (Momalle)

En 1661, le feu est volontairement bouté, de nuit, au presbytère de Momalle. La grange qui le jouxte est totalement détruite. La perception de la dîme en est peut-être le mobile.

Les idées révolutionnaires (Momalle)

En 1789, de nombreux villageois de Momalle adhèrent aux principes de la Révolution française. Ils s’opposent à la dîme perçue par le curé du village sur les terres de Pichoul (Pissoule ?).

Maintien de l’imposition des sucreries (Waremme)

Le 18 mai 1867, le Conseil Communal de Waremme constate que les péages perçus sur les voiries de la commune ne suffisent pas à la réparation des dégradations causées à celles-ci par les charrois des sucreries. Il décide donc de maintenir les impositions établies à leur charge, malgré leur réclamation.

Antoine Dangleur, receveur (Waremme – Liège)

En 1736, DANGLEUR Antoine est commis aux droits du Prince-Evêque de Liège et de ses Etats, au comptoir de Waremme. Il y perçoit les droits sur les marchandises.

Antoine Dangleur, receveur (Waremme – Liège)

En mai 1733, DANGLEUR Antoine est commis aux droits du Prince-Evêque de Liège et de ses Etats, au comptoir de Waremme. Il y perçoit les droits sur les marchandises.

La « Concordia Amicabilis » (Malmedy – Liège – Lantremange)

Le 12 mars 1300, une convention amiable, appelée « Concordia Amicabilis », est signée entre l’Abbé de Malmedy et le Prince-Evêque de Liège, à propos du village de Lantremange.

Malmedy y abandonne le droit seigneurial de nomination de la Cour de Justice. L’avoué y est devenu héréditaire. Il percevra les amendes. Il sera soumis au Prince-Evêque de Liège et à sa Cour féodale. Progressivement, les avoués de Lantremange vont prendre le titre de « Seigneur de Lantremange ».

Les droits de Jean de Jaymaert, dit « de Moege » (Liège – Bleret – Lantremange)

ernest de bavière prince-évêque de liège

ernest de bavière prince-évêque de liège

Le 19 juillet 1607, le Prince-Evêque de Liège, DE BAVIERE Ernest, rend un jugement aux termes duquel DE JAYMAERT Jean, dit « de Moege », est qualifié de voué de Bleret et Seigneur de Lantremange à la « Loi de Liège », et de voué de Lantremange à la « Loi d’Aix ».

Par ce jugement, « de Moege » conserve le droit de nommer le mayeur, les échevins, le forestier et les autres officiers de lantremange. Il a également le droit de bannalité du moulin et de la brasserie; la perception et la jouissance des amendes.

Des « Droits de barrière » à Waremme

Le 26 août 1856, un arrêté-royal autorise les conseils communaux, de Bleret, Pousset, Lantremange et Waremme, à percevoir, pendant 10 années consécutives, à partir d’une époque à fixer par le Gouverneur de la Province de Liège, un droit de barrière égal aux 3/5 de celui qui est perçu aux routes de l’Etat, sur la partie du chemin de grande communication de Waremme à Fexhe-le-Haut-Clocher, comprise entre la chaussée Romaine et la limite de Lamine.

La perception du droit se fera conformément au tarif indiqué dans les susdites délibérations, avec une concurrence de 530 mètres vers Waremme.

Les lois et règlements, ayant pour objet la police du roulage, le mode de perception des droits de barrière sur le routes de l’Etat, sont rendus applicables à ce chemin.

Droit de péage sur la Chaussée Romaine (Waremme)

Le 14 mai 1857, la Députation Permanente autorise la commune de Waremme, pour un nouveau terme de 10 ans, à percevoir un droit de péage sur la Chaussée Romaine.

Taxes à Waremme

En 1776, la ville de Waremme perçoit des taxes sur les quatre foires et un impôt sur le vin et l’eau-de-vie.