En 1941, MOES Edouard, industriel à Waremme, est autorisé à conserver sa luxueuse Chevrolet et à ne pas la céder aux occupants allemands, au motif que lui-même et son personnel de maîtrise doivent visiter les chantiers où les moteurs fabriqués par son entreprise sont en service.
En raison de la pénurie de carburant, il sera obligé d’équiper son véhicule d’un gazogène, monté sur une remorque tractée.
En septembre 1898, la Coopérative « La Justice » de Waremme reçoit ses premières cotisations. Au bout de 6 mois, elle disposera d’un capital de 1500 francs et pourra engager du personnel.
En 1974, la filiale de la société américaine « Extracorporeal », spécialisée dans la fabrication de reins artificiel, occupe plus de 100 personnes dans le zoning industriel de Waremme.
En 1947, les firmes qui emploient plus de 5 personnes sur le territoire de Waremme doivent s’acquitter d’un impôt de 80 francs par travailleur supplémentaire.
En 1983, la ville de Waremme entreprend des démarches auprès de la Communauté Française et de la Région Wallonne en vue d’obtenir la reconnaissance de la bibliothèque communale comme bibliothèque « pivot » et ainsi recevoir une aide en personnel.
En 1983, VILLEE Michel est nommé adjudant et se voit confier le recyclage du personnel à la brigade de gendarmerie de Vottem.
En 1973, VILLEE Michel est chargé de la formation du personnel à la brigade de gendarmerie de Vottem.
En mars 1987, la S.A. « Marco Viviani », entreprise de cosmétiques et de parfums, annonce son intention d’installer une unité de production dans le zoning industriel de Waremme. Dans un premier temps, la société y emploiera 12 personnes et envisage de s’étendre.
En mars 1987, la société Molnlycke réalise des investissements dans son siège waremmien.
Un premier investissement de 150 millions de francs est consacré à la transformation des bâtiments existants. Les travaux sont déjà entamés et seront terminés au printemps 1988.
Un deuxième investissement de 50 millions de francs est consacré à l’extension du parc de machines.
Le but de ces investissements est d’augmenter à la fois la capacité de production et de stockage de l’usine, qui est appelée à devenir un centre de distribution international.
En 1976, 23 personnes travaillent au siège de Molnlycke à Waremme.