Le 14 février 1872, l’Île aux Saules est reboisée à Longchamps, par 48 peupliers et des saules, achetés chez GOUJARD et VAN VOLXEM.
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Réquisition d’arbres (Berloz)
En mai 1942, les autorités allemandes réquisitionnent 18 peupliers dans les bois de Berloz. Ils sont évalués à 8.959 francs.
La ferme en carré d’Oreye
En 1981, un agréable site de prairies, parcourues par le Geer et plantées de peupliers, abrite la ferme en carré, en bordure de la rue des Combattants à Oreye. Elle a la forme d’un quadrilatère en brique et pierre calcaire, couvert de tuiles.
Au Nord, un pont enjambe un fossé comblé, reste de douves qui entouraient la ferme, et conduit à un haut bâtiment de deux niveaux, qui cumule les fonctions de logis et de porche d’entrée. Une porte à deux vantaux, couronnée par un arc surbaissé et un linteau droit sur piédroits chaînés, s’ouvre sur un passage charretier qui mène à la cour. Cette porte était protégée par un pont-levis; de larges encoches, permettant le passage des chaînes ou des cordes, sont encore visibles aux angles supérieurs de la feuillure. Trois fenêtres, sans doute agrandies au 18ème siècle, à linteaux en tas de charge et montants harpés, éclairent la partie habitable du porche, accessible par une porte chaînée depuis le passage charretier. Deux jours carrés, surmontés d’arcquettes de décharge, à gauche de la porte, indiquent l’aspect initial des percements. Des ouvertures du même type persistent sur l’un des pignons. Côté cour, un décrochement marque le côté gauche du bâtiment, qui présente également des fenêtres aux linteaux en tas de charge.
Un bâtiment, d’un niveau inférieur, et servant actuellement de logis, jouxte l’entrée. Défiguré par des percements récents effectués de façon irrégulière, il présente les traces de petites fenêtres rectangulaires sous arcquettes de décharge et d’une porte. De nombreux aménagements intérieurs ont, heureusement, été épargnés:
- une belle cheminée de pierre, dont les montants portent l’inscription « ANNO 1619″;
- dans l’une des vastes caves jaillit une source d’eau potable;
- une lucarne en bâtière, qui possède encore son système de poulie, permet d’accéder au grenier.
La grange en double large occupe le côté Ouest du quadrilatère. Son imbrication maladroite dans les autres bâtiments et les traces de fenêtres, dans le pignon du logis contre lequel elle s’appuie, indiquent une construction plus récente.
Dans l’aile Sud, les étables sont couvertes de plafonds plats en bois et de fenils.
A l’Est, il ne subsiste qu’un chartil, couvert d’une bâtière à coyau et croupette, prolongé, côté cour, par un appentis sur piliers de ciment.
Au centre de la cour, le fumier est devenu pelouse.
La ferme en carré de Ligney
En 1981, la ferme en carré de Ligney, située rue de l’Ecole, se trouve hors du village, au milieu de prairies plantées de peupliers. Elle forme un grand quadrilatère de 18ème siècle en brique et calcaire partiellement chaulé.
Un beau portail formé d’un pavillon harpé, couvert de toitures mansardées en Eternit et ouvert d’un arc en anse à panier à claveaux passants, permet de pénétrer dans la cour. La clé est creusée dans une niche et porte la date de 1776. Des meurtrières percent ce portail. Côté cour, une ouverture triangulaire éclaire le colombier.
A gauche du porche, se trouve l’imposant logis à deux niveaux, sur caves, à double-corps de cinq travées, accru d’une sixième à droite. La travée centrale est en ressaut surmonté d’un liteau à corniche saillante sur piédroits moulurés. Autrefois protégées par des volets, les baies ont des linteaux faiblement bombés à clé. Une toiture de tuiles à coyau couvre ce logis, dont l’intérieur présente un décor bien conservé: plafonds et cheminées ornés de stuc rocaille, un beau départ d’escalier.
La grange en double large, datée par ancrage de 1754, occupe le côté Nord du quadrilatère. Les portes charretières à claveaux passants doublés d’un rouleau de briques, présentent pour l’une un arc en anse de panier et pour l’autre un arc cintré.
Le reste des bâtiments se compose d’étables couvertes de plafonds plats, surmontés de fenils et percées de portes à linteau bombe et à clé. Un passage charretier, à arc surbaissé et claveaux passants doublés d’un rouleau de briques, ouvre l’aile en face du logis et débouche dans les prés. Une partie de cette aile est actuellement en démolition.
Des arbres du Parc abattus (Waremme)
En janvier 2015, plusieurs hauts peupliers du Parc des Mayeurs, de Waremme, doivent être abattus, car ils risquent d’être arrachés en cas de vents violents.
Alexis Wauters fournit du bois aux Allemands (Waremme – Allemagne)
En décembre 1917, WAUTERS Alexis, le jeune frère de WAUTERS Joseph et de WAUTERS Arthur, surveille la coupe de peupliers à Waremme, leur chargement et leur livraison aux Allemands.
Tempête sur la ville (Waremme)
Dans la nuit du 28 février au 1er mars 1990, une tempête d’une violence exceptionnelle secoue la région Huy-Waremme. A Waremme, de nombreux arbres sont arrachés avenue Guillaume Joachim et place du roi Albert 1er. Deux peupliers s’abattent sur la maison PETROLITO , rue de Sélys-Longchamps. Dans tous les villages, des toitures sont arrachées, des arbres déracinés, des poteaux électriques abattus. Des routes doivent être interdites à la circulation.
La balade des peupliers (Waremme)
En juin 1988, l’ASBL « Environnement et Progrès » inaugure la balade des peupliers à Waremme. Ce circuit pédestre de 7 km permet de découvrir la faune et la flore hesbignonne.
Le départ et l’arrivée de la balade se déroulent au Centre Sportif et Culturel Edmond Leburton. Le nom de la balade vient des nombreux alignements de peupliers que l’on peut admirer durant la promenade. Pour la plupart ce sont des peupliers du Canada ou euraméricains.
Les peupliers de la fabrique d’église (Waremme)
Le 13 octobre 1983, le conseil communal de Waremme autorise l’aliénation de 42 peupliers appartenant à la fabrique d’église Saint-Michel, de Longchamps.
800 peupliers sont abattus pour construire la « Maison de Hesbaye » (Waremme)
En juillet 2003, l’abattage des 800 peupliers, sur le site de la future « Maison de Hesbaye », est en cours. Certains riverains sont choqués par les conséquences que cela entraîne sur la nidification des oiseaux qui fréquentent cette peupleraie. Pour l’échevin et initiateur du projet, MEUREAU Robert, il n’était pas possible de modifier la période d’abattage, en raison de délais liés à l’obtention des subsides.